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Commentaires - Coronavirus: l'industrie auto entrevoit le rebond

Pierre-Olivier Marie

Coronavirus: l'industrie auto entrevoit le rebond

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Par

La méthode coué!!!

Pas sur que cela suffise......

Par

Renault était déjà dans une situation difficile avant la crise, ca risque pas d'arranger les choses.

Une fois la crise sanitaire passée (dont on ne connait toujours pas la date de fin) et les éventuels impacts économiques (dont on ne connait toujours pas l'ampleur), je doute que la confiance des consommateurs remontent en flèche pour aller commander, à nouveau, en masse des voitures ... encore plus si le consommateur s'est pris un licenciement économique dans la gueule.

Bref, la consommation "quotidienne" reviendra rapidement après la fin de la crise ... mais pour les grosses dépenses comme changer / acheter de voiture, la traversée du désert sera plus longue.

Par

Si ces gens là ne réclament pas de fonds publics, c'est très bien. C'est aussi une méthode pour entraver des aides a leurs concurrents en ayant la conviction qu'ils sont plus forts. L'histoire tranchera.

L'argument du carnet de commande en amont de la crise n'est que du bavardage. Avant l'épidémie, tout le monde s'étonnait que la crise ne se montre pas alors que tous les signes habituels étaient présents. L'épidémie a allumé le pétard.

Ce sont les carnets de commandes de septembre prochain qui seront importants.

.

Par §Maî044fF

Normal que Renault soit optimiste, vu la paupérisation actuelle qui grimpera en flèche avec la crise économique qui arrive, il pourra écouler sa camelote

Par

En réponse à §Maî044fF

Normal que Renault soit optimiste, vu la paupérisation actuelle qui grimpera en flèche avec la crise économique qui arrive, il pourra écouler sa camelote

   

Vu ce que vous adorez comme marque vous devez être un fin connaisseur du sujet que vous évoquez...

on vous fera donc confiance pour la finesse de l'analyse...

sinon, les temps sont durs, mais rares sont les actionnaires qui vont se passer de dividendes ou mettre la main à la poche pour assurer la survie de la boite.

Recevoir sa part des bénéfices OUI....assumer ses responsabilités d'actionnaires NON.

Si vraiment il y avait nécessité de nationaliser l'état devra attendre que ces rapaces aient tout perdu pour récupérer la mise pour presque rien.

 

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Par §JFK252Gc

En réponse à Aznog

Renault était déjà dans une situation difficile avant la crise, ca risque pas d'arranger les choses.

Une fois la crise sanitaire passée (dont on ne connait toujours pas la date de fin) et les éventuels impacts économiques (dont on ne connait toujours pas l'ampleur), je doute que la confiance des consommateurs remontent en flèche pour aller commander, à nouveau, en masse des voitures ... encore plus si le consommateur s'est pris un licenciement économique dans la gueule.

Bref, la consommation "quotidienne" reviendra rapidement après la fin de la crise ... mais pour les grosses dépenses comme changer / acheter de voiture, la traversée du désert sera plus longue.

   

C'est évident. ...ça va être un désastre pour les entreprises et par ricochet pour tous ceux qui vont perdre leur emploi......donc ma voiture je ne vais pas la changer demain....surtout qu'elle roule plus : 1 trajet pour aller au U en 1 semaine. .... il vaut mieux vivre que de faire des km pour se faire courrir par le virus

Par

En 2008 il avait fallu 3 ans pour sortir de la crise, le marché n'avait eu un rebond qu'en 2011, les experts économiques disent déjà que 2020 sera pire que 2008, donc la relance n'est pas pour demain, il ne faut pas rêver.

Par

Je pense que ça va repartir pour aussi une raison toute bête : ces cons de bobos qui se vantaient de ne pas avoir de voiture en ont ch... pour quitter Paris et ne peuvent pas aller faire les courses aux drive.

Par

En réponse à Aznog

Renault était déjà dans une situation difficile avant la crise, ca risque pas d'arranger les choses.

Une fois la crise sanitaire passée (dont on ne connait toujours pas la date de fin) et les éventuels impacts économiques (dont on ne connait toujours pas l'ampleur), je doute que la confiance des consommateurs remontent en flèche pour aller commander, à nouveau, en masse des voitures ... encore plus si le consommateur s'est pris un licenciement économique dans la gueule.

Bref, la consommation "quotidienne" reviendra rapidement après la fin de la crise ... mais pour les grosses dépenses comme changer / acheter de voiture, la traversée du désert sera plus longue.

   

Pas sûr car :

1- quand la mort rode tu changes de philosophie et tu ne reportes pas à plus tard les plaisirs que tu pourrais t'offrir aujourd'hui.

2- En cas de crise globale l'argent en banque n'est pas garanti. Si tu achètes une voiture ben au moins t'as une voiture. Surtout qu'avec toutes les liquidités qui arrivent il devrait y avoir de l'inflation donc les épargnants vont être rincés.

Par

En réponse à pdumoulin

En 2008 il avait fallu 3 ans pour sortir de la crise, le marché n'avait eu un rebond qu'en 2011, les experts économiques disent déjà que 2020 sera pire que 2008, donc la relance n'est pas pour demain, il ne faut pas rêver.

   

C'est totalement différent.

Une crise financière n'a rien à voir avec une crise sanitaire au niveau économique.

Une crise sanitaire va avoir des répercussions similaires à une crise politique (guerre) au niveau de l'économie.

C'est simplement dû au fait qu'une épidémie, tout comme une guerre, à un début et une fin facile à établir. Alors que pour une crise financière il est difficile de déterminer la fin de la crise, ce qui pousse les investisseurs à retarder leurs investissements.

Quand le COVID19 sera maîtrisé à l'échelle mondiale, l'économie repartira de plus belle. Alors certes il faudra peut-être 1 an pour retourner à un rythme de croisière, mais ça repartira plus vite qu'en 2008.

Par

En réponse à Axel015

C'est totalement différent.

Une crise financière n'a rien à voir avec une crise sanitaire au niveau économique.

Une crise sanitaire va avoir des répercussions similaires à une crise politique (guerre) au niveau de l'économie.

C'est simplement dû au fait qu'une épidémie, tout comme une guerre, à un début et une fin facile à établir. Alors que pour une crise financière il est difficile de déterminer la fin de la crise, ce qui pousse les investisseurs à retarder leurs investissements.

Quand le COVID19 sera maîtrisé à l'échelle mondiale, l'économie repartira de plus belle. Alors certes il faudra peut-être 1 an pour retourner à un rythme de croisière, mais ça repartira plus vite qu'en 2008.

   

Tout dépend de l'impact économique total que va avoir le COVID-19 (et des mesures de soutien des gouvernements).

Le COVID-19 peut / va ? entrainer une succession de faillites, d'entreprises dont la trésorerie va être plombée et qui vont couler des les mois qui suivent la fin de l'épidémie après avoir tenté de survivre.

L'ambiance va être morose (pas d'augmentations de salaire, pas de bonus annuels, ...), les sociétés vont trancher dans les dépenses non essentielles / repousser les investissements pour tenter de retrouver de la trésorerie ... mettant à mal les fournisseurs (et étant peut être victime elles aussi des coupes budgétaires des clients, ...).

Bref, plus la crise sanitaire dure, plus ça va être la grosse merde économique et plus le "monde" va mettre du temps à se remettre sur pied.

Par

En réponse à MG Arnaud

Pas sûr car :

1- quand la mort rode tu changes de philosophie et tu ne reportes pas à plus tard les plaisirs que tu pourrais t'offrir aujourd'hui.

2- En cas de crise globale l'argent en banque n'est pas garanti. Si tu achètes une voiture ben au moins t'as une voiture. Surtout qu'avec toutes les liquidités qui arrivent il devrait y avoir de l'inflation donc les épargnants vont être rincés.

   

Ce ne sont que des spéculations ... je ne crois absolument pas à un mouvement euphorique et consumériste type "Les Années Folles" après la fin de la première guerre mondiale.

Quant au fait d'une éventuelle "non garantie" des dépôts bancaires. Je ne souhaite pas entrer dans ce débat qui peut très vite glisser vers les théories complotistes, délires de collapsologues et autres élucubrations apocalyptiques.

Actuellement, en France, les dépôts bancaires sont garantis à hauteur de 100k€ / banque et 70k€ / assureur.

Lors de la crise de 2008, aucun français n'a perdu un seul centime sur les dépôts bancaires régulés par les institutions françaises.

Par

En réponse à Aznog

Ce ne sont que des spéculations ... je ne crois absolument pas à un mouvement euphorique et consumériste type "Les Années Folles" après la fin de la première guerre mondiale.

Quant au fait d'une éventuelle "non garantie" des dépôts bancaires. Je ne souhaite pas entrer dans ce débat qui peut très vite glisser vers les théories complotistes, délires de collapsologues et autres élucubrations apocalyptiques.

Actuellement, en France, les dépôts bancaires sont garantis à hauteur de 100k€ / banque et 70k€ / assureur.

Lors de la crise de 2008, aucun français n'a perdu un seul centime sur les dépôts bancaires régulés par les institutions françaises.

   

pas besoin de faillite bancaire. Une bonne inflation à 2 chiffres rincera l'épargne tout pareil. Et ça vu les milliards injectés dans l'économie, c'est pas un scénario d'illuminatis. D'ailleurs ça arrangera beaucoup de monde car qui dit hyper inflation dit remboursement de dette avec de la monnaie de singe.

Par §JPS676Et

Si les constructeurs disposent de stocks suffisants, ça peut marcher.

En fait, les gens vont avoir besoin de s'évader après le confinement, et alors, pourquoi pas dans une voiture neuve.

Pour les commandes des entreprises, ça sera plus dur, car elles auront souffert pendant cette période, et je doute qu'elles auront beaucoup de moyen.

Par

Ne pas oublier non plus que dans le tiers des familles en France un des membres est fonctionnaire. Donc garanti d'emploi et de revenus. J'espère avec tout ce qu'ils nous coûtent qu'ils auront la bonne idée d'aller consommer en France plutôt que de se payer des vacances à Marrakech.

Par

En réponse à MG Arnaud

pas besoin de faillite bancaire. Une bonne inflation à 2 chiffres rincera l'épargne tout pareil. Et ça vu les milliards injectés dans l'économie, c'est pas un scénario d'illuminatis. D'ailleurs ça arrangera beaucoup de monde car qui dit hyper inflation dit remboursement de dette avec de la monnaie de singe.

   

L'hyperinflation ne peut pas apparaitre car qui dit hyperinflation dit explosion des taux. Que ce soit au niveau des emprunts d'état (donc augmentation de la charge de la dette et impossible de suivre) et de tous les prêts aux particuliers (immobiliers, conso, ...).

Alors ok, érosion du capital mais paupérisation massive de la population via des salaires qui suivent pas, baisse de la compétitivité (déjà pas bien exceptionnelle) face aux pays à bas coûts, ...

Bref, hyperinflation, c'est devenir comme le Venezuela ... et à ce moment là, les 0 sur le compte en banque ne seront pas la première priorité mais plutôt de trouver à bouffer.

Pour rembourser les centaines de milliards de dettes qui vont arriver, on fera comme d'hab ... hausse de taxes sur un panel élargi pour faire payer tout le monde + arrivée d'une taxe quelconque (retour de l'ISF ?) sur ces salauds de riches pour servir de taxe symbolique aux yeux du peuple.

Par

Apres le confinement il va y avoir un baby boom, des divorces, des achats . et la génération 2000 qui arrive forcement ça va repartir.

 

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