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Commentaires - Voiture de fonction - Budget entretien : les bonnes pratiques pour l’optimiser

Louis-cyril Tharaux

Voiture de fonction - Budget entretien : les bonnes pratiques pour l’optimiser

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entreprise, flotte ou individuel, les coûts sont les mêmes, il n'y a pas de surprise. Dans le cas des flottes, il peut y avoir un effet volume qui permet quelques remises sur l'entretien ou bien un service interne moins cher mais ça ne change pas la hiérarchie des dépenses..

Par

Je me suis toujours demandé, à partir de quelle taille de flotte ils seraient rentable pour une société d'internalisé cette prestation d'entretien ?

Après il est vrai que les sociétés par définition ont tendance à externaliser tout ce qui n'est pas leur cœur de métier maintenant, mais ça à un coût tout de même car on paye la marge des garages alors que pour une prestation gérée en interne le tarif est à prix coutant.

La RATP par exemple entretient ces bus soit même et ne fait pas appel à une société extérieur (bon la RATP n'est pas un modèle de gestion j'entends bien :biggrin: mais c'était juste un exemple).

Par

Pour faire des économies d'entretien, il suffit de choisir des hybrides Toyota ou des électriques pour les véhicules captifs. Pour celles-là, pas d'embrayage, pas de boite de vitesse, pas d'alternateur, pas de démarreur, rare usage des freins, régime limité à froid et un marché de l'occasion très demandeur en Sibérie et Mongolie en raison de la fiabilité...

Par

En réponse à Hybridation

Pour faire des économies d'entretien, il suffit de choisir des hybrides Toyota ou des électriques pour les véhicules captifs. Pour celles-là, pas d'embrayage, pas de boite de vitesse, pas d'alternateur, pas de démarreur, rare usage des freins, régime limité à froid et un marché de l'occasion très demandeur en Sibérie et Mongolie en raison de la fiabilité...

   

Après, la voiture de fonction c'est aussi un avantage concurrentiel pour recruter dans certaines sociétés à forte valeur ajoutée.

J'ai un ami qui travaille dans la sécurité informatique (souvent des sociétés US du reste), et la voiture de fonction c'est le truc qui doit attirer la future recrue. Typiquement il a l'année dernière une Golf GTE, cette année c'est une Audi A3 35 TFSI, etc...

La priorité n'est pas toujours le faible coût à l'entretien.

Idem pour mon père qui travaille comme commerciale dans la vente de machine industrielle pour une société suisse, comme il transporte des clients potentiels (souvent chef d'entreprise), la voiture doit être le bon compromis : standing minimal mais sans abus. En l'occurrence une Passat. (probablement pas la voiture la moins chère en entretien)

Par

Bref, que du bon sens ce qui est rapporté dans cet article.

Faire entretenir son véhicule selon les échéances préconisées, ne pas laisser le véhicule se dégrader, choisir un véhicule adapté en fonction de l'utilisation...

Ca fait 15 ans que j'ai une voiture de fonction et, heureusement, je n'ai pas attendu cet article pour respecter tout ça.

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Par

En réponse à Axel015

Je me suis toujours demandé, à partir de quelle taille de flotte ils seraient rentable pour une société d'internalisé cette prestation d'entretien ?

Après il est vrai que les sociétés par définition ont tendance à externaliser tout ce qui n'est pas leur cœur de métier maintenant, mais ça à un coût tout de même car on paye la marge des garages alors que pour une prestation gérée en interne le tarif est à prix coutant.

La RATP par exemple entretient ces bus soit même et ne fait pas appel à une société extérieur (bon la RATP n'est pas un modèle de gestion j'entends bien :biggrin: mais c'était juste un exemple).

   

Peu importe les volumes, ça coûte toujours plus cher pour une entreprise de se payer sa propre maintenance.

Celles qui le font, c'est uniquement par nécessité. (Répondre à un cas d'urgence comme par exemple les hôpitaux, l'arrêt d'un train/métro/tramway de transport de passagers aux heures de pointe...Ou par exemple une chaîne d'assemblage tournant H24 si on reste dans le cadre de l'automobile.)

En fait c'est lorsqu'une panne immobilisante peu impacter fortement une entreprise, que l'on met en place une maintenance interne afin de gagner en réactivité.

Par

En réponse à Axel015

Après, la voiture de fonction c'est aussi un avantage concurrentiel pour recruter dans certaines sociétés à forte valeur ajoutée.

J'ai un ami qui travaille dans la sécurité informatique (souvent des sociétés US du reste), et la voiture de fonction c'est le truc qui doit attirer la future recrue. Typiquement il a l'année dernière une Golf GTE, cette année c'est une Audi A3 35 TFSI, etc...

La priorité n'est pas toujours le faible coût à l'entretien.

Idem pour mon père qui travaille comme commerciale dans la vente de machine industrielle pour une société suisse, comme il transporte des clients potentiels (souvent chef d'entreprise), la voiture doit être le bon compromis : standing minimal mais sans abus. En l'occurrence une Passat. (probablement pas la voiture la moins chère en entretien)

   

Perso les caisses dont tu parles n'ont aucun effet attractif, ce serait même un repoussoir ! :lol:

Même si une A3 avec une cylindrée si généreuse :cyp: ne se refuse pas ! :areuh: :cubitus:

Par

En réponse à PLexus sol-air

Perso les caisses dont tu parles n'ont aucun effet attractif, ce serait même un repoussoir ! :lol:

Même si une A3 avec une cylindrée si généreuse :cyp: ne se refuse pas ! :areuh: :cubitus:

   

Pour toi sans doute, pour un jeune de 23 en sortie d'école ou à peine, rouler dans une voiture à 40/45k euros neuve, ça attire je t'assure.

Par

En réponse à mekinsy

Peu importe les volumes, ça coûte toujours plus cher pour une entreprise de se payer sa propre maintenance.

Celles qui le font, c'est uniquement par nécessité. (Répondre à un cas d'urgence comme par exemple les hôpitaux, l'arrêt d'un train/métro/tramway de transport de passagers aux heures de pointe...Ou par exemple une chaîne d'assemblage tournant H24 si on reste dans le cadre de l'automobile.)

En fait c'est lorsqu'une panne immobilisante peu impacter fortement une entreprise, que l'on met en place une maintenance interne afin de gagner en réactivité.

   

"Peu importe les volumes, ça coûte toujours plus cher pour une entreprise de se payer sa propre maintenance."

Pourquoi ?

Si tu as une flotte de 1000 voitures, avec 1 ou 2 mécano à plein temps, un pont et des équipements ultra rentabilisés avec le temps ? Je suis pas sur que ça coûte plus chère que de faire déplacer un mécano de chez Norauto...

Par

En réponse à PLexus sol-air

Perso les caisses dont tu parles n'ont aucun effet attractif, ce serait même un repoussoir ! :lol:

Même si une A3 avec une cylindrée si généreuse :cyp: ne se refuse pas ! :areuh: :cubitus:

   

Tout le monde oublie que la voiture de fonction est une gratification qui pèse sur l'avenir. Les sommes attribuées a cet avantage ne sont pas soumises a cotisations et, en France, ça pèse lourd au moment de la retraite si la voiture de fonction a été la règle pendant la majorité des années de travail. Il y a eu le débat là où je travaillais, peu d'adhésion a cette proposition malhonnête à l'époque.

A titre d'information, les cotisations retraite représentent 20% du grand total de la fiche de paie pour ceux qui cotisent a l'agirc.

Par

En réponse à GY201

Tout le monde oublie que la voiture de fonction est une gratification qui pèse sur l'avenir. Les sommes attribuées a cet avantage ne sont pas soumises a cotisations et, en France, ça pèse lourd au moment de la retraite si la voiture de fonction a été la règle pendant la majorité des années de travail. Il y a eu le débat là où je travaillais, peu d'adhésion a cette proposition malhonnête à l'époque.

A titre d'information, les cotisations retraite représentent 20% du grand total de la fiche de paie pour ceux qui cotisent a l'agirc.

   

Globalement ce que l'on avait proposé à mon pote s'était soit la voiture de fonction soit 6000 euros de salaire BRUT en plus annuel. Donc moins de 3000 euros dans sa poche une fois la conversion en NET et l'IR prélevé en gros.

Il a préféré prendre la voiture de fonction que d'en acheter une lui même (comme 90% des gens dans sa boite) plutôt que de faire marché les indemnités kilométriques pour sa propre voiture. C'est une question de choix, mais très souvent le fait d'avoir sa voiture de son propre choix renouvelée chaque année c'est un confort appréciable dans ce genre de société pour les salariés. Ils peuvent également avoir une LLD plus chère pour un modèle plus prestigieux, mais au détriment de leur paye. C'est a la carte en gros.

Par

En réponse à GY201

Tout le monde oublie que la voiture de fonction est une gratification qui pèse sur l'avenir. Les sommes attribuées a cet avantage ne sont pas soumises a cotisations et, en France, ça pèse lourd au moment de la retraite si la voiture de fonction a été la règle pendant la majorité des années de travail. Il y a eu le débat là où je travaillais, peu d'adhésion a cette proposition malhonnête à l'époque.

A titre d'information, les cotisations retraite représentent 20% du grand total de la fiche de paie pour ceux qui cotisent a l'agirc.

   

En l'occurrence, mon ami travaille chez McAfee comme avant-vente, la retraite pour lui, c'est par capitalisation en investissant ce qui est facilement envisageable avec les salaires proposées dans ce genre de société. La philosophie c'est pas trop de compter sur l'état dans une boite à la mentalité "US". :blague:

Par

En réponse à Axel015

Globalement ce que l'on avait proposé à mon pote s'était soit la voiture de fonction soit 6000 euros de salaire BRUT en plus annuel. Donc moins de 3000 euros dans sa poche une fois la conversion en NET et l'IR prélevé en gros.

Il a préféré prendre la voiture de fonction que d'en acheter une lui même (comme 90% des gens dans sa boite) plutôt que de faire marché les indemnités kilométriques pour sa propre voiture. C'est une question de choix, mais très souvent le fait d'avoir sa voiture de son propre choix renouvelée chaque année c'est un confort appréciable dans ce genre de société pour les salariés. Ils peuvent également avoir une LLD plus chère pour un modèle plus prestigieux, mais au détriment de leur paye. C'est a la carte en gros.

   

3000€/an plus le remboursement des km de voiture perso sont, a l'échelle d'une vie, bien plus rémunérateurs. Mais la doxa actuelle, ce n'est pas de s'enrichir mais d'appauvrir la collectivité.

Par §Lep405EG

En réponse à Axel015

Je me suis toujours demandé, à partir de quelle taille de flotte ils seraient rentable pour une société d'internalisé cette prestation d'entretien ?

Après il est vrai que les sociétés par définition ont tendance à externaliser tout ce qui n'est pas leur cœur de métier maintenant, mais ça à un coût tout de même car on paye la marge des garages alors que pour une prestation gérée en interne le tarif est à prix coutant.

La RATP par exemple entretient ces bus soit même et ne fait pas appel à une société extérieur (bon la RATP n'est pas un modèle de gestion j'entends bien :biggrin: mais c'était juste un exemple).

   

Il suffit déjà de rentabiliser le salarié ou les salariés qui effectueront les réparations

Donc salaire X2 avec les charges X le nombre de mécano plus congé payé

Ils peuvent récupérer la tva en plus , d après moi, c plus qu intéressant

Par

En réponse à §Lep405EG

Il suffit déjà de rentabiliser le salarié ou les salariés qui effectueront les réparations

Donc salaire X2 avec les charges X le nombre de mécano plus congé payé

Ils peuvent récupérer la tva en plus , d après moi, c plus qu intéressant

   

Les entreprises que je connais et qui ont plusieurs dizaines de véhicules sur un même site ont un service interne de maintenance. Quelques fois, cette maintenance est assurée par un prestataire extérieur présent sur le site.

Par

En réponse à GY201

3000€/an plus le remboursement des km de voiture perso sont, a l'échelle d'une vie, bien plus rémunérateurs. Mais la doxa actuelle, ce n'est pas de s'enrichir mais d'appauvrir la collectivité.

   

"Mais la doxa actuelle, ce n'est pas de s'enrichir mais d'appauvrir la collectivité."

Oui, mais d'un autre côté je peux comprendre :

- Le système des retraites français est une pyramide de Ponzi qui demande toujours plus de cotisants

- L'âge de départ à la retraite devrait être indexé sur l'espérance de vie, or ce n'est pas le cas

- Les retraites sont extrêmement faibles pour les chefs d'entreprise non assimilé salariés (exemple : EURL, SARL)

- Le fond des retraites ne sont pas de l'argent qui travaille donc les fonds se dévalorisent par rapport à l'inflation (alors que les capitaux eux suivent l'inflation)

Bref, je peux comprendre que l'on ne souhaite pas "enrichir la collectivité" quand celle-ci est mal gérée.

Par

En réponse à GY201

Tout le monde oublie que la voiture de fonction est une gratification qui pèse sur l'avenir. Les sommes attribuées a cet avantage ne sont pas soumises a cotisations et, en France, ça pèse lourd au moment de la retraite si la voiture de fonction a été la règle pendant la majorité des années de travail. Il y a eu le débat là où je travaillais, peu d'adhésion a cette proposition malhonnête à l'époque.

A titre d'information, les cotisations retraite représentent 20% du grand total de la fiche de paie pour ceux qui cotisent a l'agirc.

   

Ouaip....autant on peut être d'accord pour considérer que de substituer l'attribution d'un salaire correct par l'attribution d'une caisse de fonction aura forcément des conséquences pas bien favorables à un niveau de retraite correct, mais pour l'absence de cotisations ( aussi bien pour l'employeur que pour le bénéficiaire ), tu devrais mettre tes données à jour...

https://www.meilleurtauxpro.com/voiture-de-societe/voiture-de-fonction/fiscalite-impot-voiture-de-fonction.html

Car bien entendu, l'Etat, pas fou, sait percevoir son dû...

Il en est de même dans tous les pays européens ( les plus peuplés pour ce que j'en sais ), où l'attribution de bagnoles de fonction est pratique bien plus courante que chez nous.

Avec déclaratifs d'avantages en nature dans le déclaratif fiscal pas triste ( le plus souvent lié aux émissions Co² à présent ).

Ce qui n'empêche possiblement pas l'employeur de les attribuer... et de verser conjointement des salaires décents.

Par §Lep405EG

En réponse à GY201

Les entreprises que je connais et qui ont plusieurs dizaines de véhicules sur un même site ont un service interne de maintenance. Quelques fois, cette maintenance est assurée par un prestataire extérieur présent sur le site.

   

Cela reste cornélien comme choix de toute manière

Car d un côté tu payes grave , tu récupères une partie du fric car pas de soucis de revente et tva dans la poche

De l autre tu fais des économies mais tu as des problèmes supplémentaires avec des salariés en plus

Donc !!!:bien:

Par

Dans mon ancienne boîte tout était géré en interne (parc d'une centaine de voiture). Même l'assurance (hormis le minimum obligatoire) était pris en charge.

Petit à petit tout a été externalisé. Véhicule loués et entretenus par une société externe, avec un gus localisé dans l'entreprise.

L'entreprise préfère avoir un coût fixe mensuel et ne pas s'enquiquiner avec tous les aspects de cette gestion, qui n'est pas son cœur de métier.

Par

Dans mon ancienne boîte tout était géré en interne (parc d'une centaine de voiture). Même l'assurance (hormis le minimum obligatoire) était pris en charge.

Petit à petit tout a été externalisé. Véhicule loués et entretenus par une société externe, avec un gus localisé dans l'entreprise.

L'entreprise préfère avoir un coût fixe mensuel et ne pas s'enquiquiner avec tous les aspects de cette gestion, qui n'est pas son cœur de métier.

Par

En réponse à E911V

Dans mon ancienne boîte tout était géré en interne (parc d'une centaine de voiture). Même l'assurance (hormis le minimum obligatoire) était pris en charge.

Petit à petit tout a été externalisé. Véhicule loués et entretenus par une société externe, avec un gus localisé dans l'entreprise.

L'entreprise préfère avoir un coût fixe mensuel et ne pas s'enquiquiner avec tous les aspects de cette gestion, qui n'est pas son cœur de métier.

   

Exactement, pareil dans ma boite.

Tout est externalisé et chacun gère ses révisions de son côté.

On met en charge les coûts afférents et on n'a pas des Mains d'Œuvre Indirectes qui font un travail qui n'est pas le notre.

Le ratio MOI / CA est particulièrement suivi.

Après, est-ce plus rentable à la fin d'internaliser cela ou de le sous-traiter, aucune idée mais la question ne se pose plus de toutes façons.

Par

En réponse à Axel015

"Mais la doxa actuelle, ce n'est pas de s'enrichir mais d'appauvrir la collectivité."

Oui, mais d'un autre côté je peux comprendre :

- Le système des retraites français est une pyramide de Ponzi qui demande toujours plus de cotisants

- L'âge de départ à la retraite devrait être indexé sur l'espérance de vie, or ce n'est pas le cas

- Les retraites sont extrêmement faibles pour les chefs d'entreprise non assimilé salariés (exemple : EURL, SARL)

- Le fond des retraites ne sont pas de l'argent qui travaille donc les fonds se dévalorisent par rapport à l'inflation (alors que les capitaux eux suivent l'inflation)

Bref, je peux comprendre que l'on ne souhaite pas "enrichir la collectivité" quand celle-ci est mal gérée.

   

C'est point par point qu'il faut reprendre:

L'idée de la pyramide de ponzi est une affirmation glanée dans les écrits militants a profit des systèmes par capitalisation qui versent des rentes ridicules a regard des sommes cotisées. C'est un vocable creux idéologique, rien dans le système par répartition ne correspond a ça. Quand les cotisations se réduisent, les pensions sont réduites d'autant avec un bonus français, l'état prend le relais dans les cas les plus outranciers (mineurs de fond, marine marchande) où il n'y a plus de cotisants et que des retraités.

L'espérance de vie est directement liée a l'âge de départ à la retraite, tout recul de cet âge entraîne une réduction de cette espérance de vie. Prendre l'espérance de vie comme paramètre, c'est inverser cause et effet. C'est sur le % de cotisations qu'il faut agir. Les indépendants ont effectivement des retraites ridicules, mais quels sont les taux de cotisation? C'est 20% du grand total pour les salariés cotisant à agirc/arcco et dans mon cas, c'était 25%. Combien d'indépendant versent 25% de leur revenus bruts (y compris part dite patronale) a leur caisse de retraite?

Les fonds de retraite gèrent un flux d'argent, je ne conais pas les frais de fonctionnement, ils sont faibles. La part de capitalisation que j'ai pu avoir avait un retour sur sommes versées ridicule, plus de 30 ans, la partie complémentaire par répartition a dans mon cas un retour sur sommes versées de 18 ans. J'avais 15 ans d’espérance de vie statistique avec mon départ a 60 ans, pour info celui qui partait a 68 ans ne voyait pas son 69° anniversaire. Il n'y a pas maldonne, les 3 ans de différence sont la base des réserves de cette caisse complémentaire (elles fondent en ce moment)

Il y a un point particulier a préciser: quelque soit le choix, jamais un système de retraite ne pourra servir des revenus décorrélées de la prospérité générale de la société.

Le rendement des placements dépend de la prospérité des entreprises cotées, prospérité liée a celle de l'ensemble de la société. Les versements d'un système par répartition est directement lié aux sommes cotisées. Celui qui reste dans son coin et choisi, par exemple, de l'immobilier ne pourra louer que en fonction de ce que les éventuels locataires sont capable de payer.

Retour sur l'espérance de vie: j'ai pratiqué une profession qui a bénéficié d'études particulières et j'ai pu observer que dans le passé les collègues qui partaient a 68 ans, ils ne voyaient pas leur 69° anniversaire. Avec un départ a 60ans, l'espérance statistique est de l'ordre de 75 ans et dans tous les cas elle est largement inférieure a celle du commun des salariés. Il faut partir avant 58 ans pour coller a l'espérance de vie commune.

Par

En réponse à §Lep405EG

Cela reste cornélien comme choix de toute manière

Car d un côté tu payes grave , tu récupères une partie du fric car pas de soucis de revente et tva dans la poche

De l autre tu fais des économies mais tu as des problèmes supplémentaires avec des salariés en plus

Donc !!!:bien:

   

Effectivement, si les salariés sont un problème, il n'y a plus de solution. Je suis toujours consterné qu'il n'y ai pas de résistance a ce type de vocabulaire dans la vie ordinaire. Je suppose que tu es salarié.

Par

Complément:

C'est sur le % de cotisations qu'il faut agir ET sur les pensions versées.

Par

En réponse à GY201

C'est point par point qu'il faut reprendre:

L'idée de la pyramide de ponzi est une affirmation glanée dans les écrits militants a profit des systèmes par capitalisation qui versent des rentes ridicules a regard des sommes cotisées. C'est un vocable creux idéologique, rien dans le système par répartition ne correspond a ça. Quand les cotisations se réduisent, les pensions sont réduites d'autant avec un bonus français, l'état prend le relais dans les cas les plus outranciers (mineurs de fond, marine marchande) où il n'y a plus de cotisants et que des retraités.

L'espérance de vie est directement liée a l'âge de départ à la retraite, tout recul de cet âge entraîne une réduction de cette espérance de vie. Prendre l'espérance de vie comme paramètre, c'est inverser cause et effet. C'est sur le % de cotisations qu'il faut agir. Les indépendants ont effectivement des retraites ridicules, mais quels sont les taux de cotisation? C'est 20% du grand total pour les salariés cotisant à agirc/arcco et dans mon cas, c'était 25%. Combien d'indépendant versent 25% de leur revenus bruts (y compris part dite patronale) a leur caisse de retraite?

Les fonds de retraite gèrent un flux d'argent, je ne conais pas les frais de fonctionnement, ils sont faibles. La part de capitalisation que j'ai pu avoir avait un retour sur sommes versées ridicule, plus de 30 ans, la partie complémentaire par répartition a dans mon cas un retour sur sommes versées de 18 ans. J'avais 15 ans d’espérance de vie statistique avec mon départ a 60 ans, pour info celui qui partait a 68 ans ne voyait pas son 69° anniversaire. Il n'y a pas maldonne, les 3 ans de différence sont la base des réserves de cette caisse complémentaire (elles fondent en ce moment)

Il y a un point particulier a préciser: quelque soit le choix, jamais un système de retraite ne pourra servir des revenus décorrélées de la prospérité générale de la société.

Le rendement des placements dépend de la prospérité des entreprises cotées, prospérité liée a celle de l'ensemble de la société. Les versements d'un système par répartition est directement lié aux sommes cotisées. Celui qui reste dans son coin et choisi, par exemple, de l'immobilier ne pourra louer que en fonction de ce que les éventuels locataires sont capable de payer.

Retour sur l'espérance de vie: j'ai pratiqué une profession qui a bénéficié d'études particulières et j'ai pu observer que dans le passé les collègues qui partaient a 68 ans, ils ne voyaient pas leur 69° anniversaire. Avec un départ a 60ans, l'espérance statistique est de l'ordre de 75 ans et dans tous les cas elle est largement inférieure a celle du commun des salariés. Il faut partir avant 58 ans pour coller a l'espérance de vie commune.

   

Donc tu es pour l'augmentation des cotisations sociales dans un des pays au monde où les prélèvements sociaux sont les plus hauts. Donc une baisse globale de tous les salaires dans un pays où les salaires sont déjà très bas en comparaison de pays de même niveau de développement. Bonne chance, pour faire accepter ça électoralement parlant ;) Cette gauche (celle obnubilé par la redistribution) est morte depuis bien longtemps, maintenant elle s'est mise au Quinoa et préfère financer de l'énergie verte hors de prix que de bien payer les retraités.

A titre personnel ma stratégie est totalement différente, j'essais de cotiser le moins possible (et comme je ne suis pas un salarié, j'ai la possibilité de le faire), et je capitalise moi même. L'état ne me versera presque rien à la fin de ma carrière, mais par contre le fait d'avoir capitalisé me permettra d'avoir une meilleur retraite (en gros x1,5) et surtout : de profiter dès maintenant de la rentabilité de mes capitaux car chaque € capitaliser c'est minimum 5% de bonus par an (en mathématique c'est une suite géométrique croissante), c'est toujours mieux que de dormir sur un compte où d'alimenter un flux tendu déficitaire comme le système publique. Bref, c'est un cercle vertueux financièrement parlant. Je ne parle même pas des avantages annexes (capacité d'emprunt, de lancer des projets via la crédibilité bancaire...).

Et je pense accessoirement prendre beaucoup moins de risque en misant sur cette stratégie (investir soit même ce que l'on aurait cotisé en tant que salarié) que de miser sur les retraites "publiques" dans un pays où le chômage de masse et l'assistanat sont culturels. Je ne parle même pas de la dette avec le COVID qui sonne le glas du budget de l'état pour les prochaines décennies.

Par

Les systèmes par capitalisation sont ruinés 2 à 3 fois par siècle. Pour le siècle dernier: 1914, 1929, 1940. Je ne vois pas de raison que ça ne se reproduise pas.

Par

En réponse à GY201

Les systèmes par capitalisation sont ruinés 2 à 3 fois par siècle. Pour le siècle dernier: 1914, 1929, 1940. Je ne vois pas de raison que ça ne se reproduise pas.

   

Tout dépend quels sont tes capitaux.

Personnellement j'ai tout investi dans la pierre (Ah quoi que je dois avoir 300 euros de bitcoin, qui sont surement à 1000 euros la ^^). Donc à moins qu'il y ait un tremblement de Terre invraisemblable qui rase tous les appartements que je possède (et que l'assurance fasse faillite) je ne risque pas grand chose.

Effectivement, je serais moins serin si mes capitaux était des actions volatiles. Après effectivement la capitalisation repose sur une petite prise de risque (mais parfaitement maitrisable et surtout largement compensé par le gain).

Une vie sans prise de risque minimale, banale, prévisible, où la recherche de l'absolue sécurité (sanitaire, financière, etc...) est le leit-motiv, c'est pas trop mon truc. C'est trop ennuyant.

Par

Papy Cézallier devrait parfois penser à raisonner autrement que sur le base des ses exemples du passé....car bien évidement, hors conflit mondial ou pandémie autrement plus mortelle que celle que nous connaissons, une augmentation majeure de l'espérance de vie des habitants du monde occidental est au tournant, de par les avancées génétiques, ou pour mieux dire, de modifications génétiques qui seront bien évidement autorisées, quoi qu'on en dise.

Rendant totalement dépassé ce système de paiement des retraites des inactifs par les actifs.

Sauf à accepter de turbiner jusqu'à 75 piges...

Qu'on le veuille ou non, c'est bien un système par capitalisation qui prendra le pas ( je plains les naïfs et les cigales qui n'ont pas songé à ça si ils doivent mettre les bouts à brève échéance ). Tout simplement parce que les populations entrant toujours plus tard dans la vie active, faisant souvent moins de gosses ( en occident ) ne permettent pas de financer des popul

Par

... des populations connaissant le plus souvent le 4ème âge, avec alors ou coût sociétal qui explose...

Par

En réponse à roc et gravillon

Papy Cézallier devrait parfois penser à raisonner autrement que sur le base des ses exemples du passé....car bien évidement, hors conflit mondial ou pandémie autrement plus mortelle que celle que nous connaissons, une augmentation majeure de l'espérance de vie des habitants du monde occidental est au tournant, de par les avancées génétiques, ou pour mieux dire, de modifications génétiques qui seront bien évidement autorisées, quoi qu'on en dise.

Rendant totalement dépassé ce système de paiement des retraites des inactifs par les actifs.

Sauf à accepter de turbiner jusqu'à 75 piges...

Qu'on le veuille ou non, c'est bien un système par capitalisation qui prendra le pas ( je plains les naïfs et les cigales qui n'ont pas songé à ça si ils doivent mettre les bouts à brève échéance ). Tout simplement parce que les populations entrant toujours plus tard dans la vie active, faisant souvent moins de gosses ( en occident ) ne permettent pas de financer des popul

   

L'avantage du passé, c'est qu'il représente l'avant goût du futur.

Le passé très proche, hors covid montrait déjà les prémices d'une diminution de l'espérance de vie, conséquence directe des années de travail au delà de 60 ans. Le plafond de l'espérance de vie a l'air d'être atteint dans nos sociétés où ne persistent que les différences liées a l'hygiène de vie d'un pays a l'autre. Ailleurs dans le monde et pour les pays dits pauvres, l'espérance de vie augmente aussi, elle a vocation a rejoindre la notre.

La capitalisation, c'est aussi une retraite payée par les actifs qui font vivre l'ensemble de l'économie par leur travail et leurs dépenses. A titre d'information, il y a un service de l'état chez nos voisins grands bretons, qui prend en charge ce qui reste des fonds collectifs de capitalisation dans les cas de malversations avérées. Il ne chôment pas.

Il est complètement illusoire de penser conserver une retraite généreuse par ce système si l'économie de l'ensemble de la société ne va pas bien.

Sinon, l'apparition de la génétique dans ton discours surprend. Elle est mise en avant par ceux qui prônent ce que l'on appelle le transhumanisme mais tout ça reste des balivernes, Gates et Schmidt (google) mourront comme tout le monde, l'argent n'a pas d'influence sur cette issue. Cf Benjamin de Rothschild.

Par

En réponse à GY201

L'avantage du passé, c'est qu'il représente l'avant goût du futur.

Le passé très proche, hors covid montrait déjà les prémices d'une diminution de l'espérance de vie, conséquence directe des années de travail au delà de 60 ans. Le plafond de l'espérance de vie a l'air d'être atteint dans nos sociétés où ne persistent que les différences liées a l'hygiène de vie d'un pays a l'autre. Ailleurs dans le monde et pour les pays dits pauvres, l'espérance de vie augmente aussi, elle a vocation a rejoindre la notre.

La capitalisation, c'est aussi une retraite payée par les actifs qui font vivre l'ensemble de l'économie par leur travail et leurs dépenses. A titre d'information, il y a un service de l'état chez nos voisins grands bretons, qui prend en charge ce qui reste des fonds collectifs de capitalisation dans les cas de malversations avérées. Il ne chôment pas.

Il est complètement illusoire de penser conserver une retraite généreuse par ce système si l'économie de l'ensemble de la société ne va pas bien.

Sinon, l'apparition de la génétique dans ton discours surprend. Elle est mise en avant par ceux qui prônent ce que l'on appelle le transhumanisme mais tout ça reste des balivernes, Gates et Schmidt (google) mourront comme tout le monde, l'argent n'a pas d'influence sur cette issue. Cf Benjamin de Rothschild.

   

Concernant ton dernier paragraphe, d'un tu n'en sais absolument rien du tout...

De deux, on arrive à un stade on nous serons bientôt prêt à utiliser la nanotechnologie pour guérir/réparer des êtres humains.

"Issues de la physique, les nanotechnologies pourraient révolutionner le domaine de la cancérologie.

À travers le monde, les chercheurs sont de plus en plus en nombreux à se pencher sur ces matériaux minuscules pour concevoir des tests de diagnostic ou développer des nouveaux traitements notamment contre le cancer.

Une recherche foisonnante à laquelle participe activement le Pr François Berger, neuro-oncologue au CHU Grenoble-Alpes.

Le spécialiste de ces technologies innovantes consacre ses travaux au glioblastome, une tumeur cérébrale diagnostiquée chez 1000 à 2000 Français chaque année. «Aujourd’hui, quoi que l’on fasse, quelles que soient les thérapies modernes utilisées, l’espérance de vie moyenne des patients atteints de ce cancer est de 15 mois"

https://amp-sante.lefigaro.fr/article/les-nanotechnologies-la-nouvelle-arme-contre-le-cancer-du-cerveau/

L'homo sapiens à 200 000 ans d'évolution et la courbe de ses progrès technologique est exponentielle sur tous les points...Elle explose littéralement. (Suffit de se remonter seulement 200ans en arrière pour se rendre compte des progrès réaliser, qui sont bien plus important qu'entre 200 000 et 200 ans en arrière.)

"Les transhumanistes disent qu’on passe du hasard au choix, que nous devenons maîtres de notre propre mort. Dans les prochaines années, à partir du moment où l’on pourra repousser cette échéance, on risque d’évoluer vers une humanité à deux vitesses : la majorité, l’Homo Sapiens, resté biologique, obsolète, avec quelques progrès médicaux mais peu performants ; et l’ « homme augmenté », le post-humain, l’Homo Deus maître de tout, de son corps, de sa progéniture, de ses désirs, de l’univers."

https://www.neonmag.fr/lhumanite-est-proche-de-limmortalite-mais-la-periode-de-transition-sera-elitiste-helene-merle-beral-auteur-de-limmortalite-biologique-549389.html

Si il est un fait raisonné que toi ou moi ne seront pas immortel (Dans le sens que la veillesse nous tuera à défaut des aléas de la vie.), je ne suis pas sur que ce soit le cas de gens ayant les possibilités financières d'ici les prochaines décennies...

Que ce soit encore un rêve lointain, je suis d'accord, mais qu'on affirme que c'est impossible, la non, ce n'est pas exact.

Si c'était impossible, certains animaux comme par exemple les méduses, ne parviendraient pas à rajeunir. (Elles le font en cas de stress/pollution ou blessures.)

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Notre moine copiste reprend son clavier.

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En réponse à GY201

Notre moine copiste reprend son clavier.

   

Tu as l'air bien dépassé par le monde actuelle et les promesses technologiques dont il fait état...:lol:

Comme a ton habitude, tu restes enfermé dans ton monde d'enfant avec tes voitures volantes...:areuh:

(Un sacré traumatisme à te lire...:cry:)

Arrivé à la retraite et constatant que ta voiture actuelle est toujours et encore posée sur 4 roues, tu t'es plongé dans une sorte d'obscurantisme aggravé. :peur:

Je sais que tu es au crépuscule de ta vie, mais tu pourrais la voir se prolonger par un quelconque avancement scientifique que tu as nié parmi tant d'autres évolutions scientifiques notables. :tourne:

Je ne sais pas dans quel domaine demandant des études "particulières, tu as pu évoluer, mais je sais que cette évolution personnelle à condamner ton esprit à être totalement hermétique et réfractaire. :non:

C'est assez décevant de constater un tel manque de recul et de vécu à un age aussi vénérable que le tiens...:frown:

J'espère ne jamais faire partie (Ou penser faire partie:ange:) d'une caste sociale comme tu peux en laisser suggérer l'existence dans ton cas. (Dans les faits, tu n'as pas cette éloquence écrite que l'on peut retrouver à l'orale dans ces milieux la...)

Un moine est d'une spiritualité à des années lumières de la tienne. :coucou:

C'est pourquoi je te remercie de l'allusion, elle me va très bien.:fier:

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Je veux bien les mêmes freins sur la mienne :bien:

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En réponse à GY201

Tout le monde oublie que la voiture de fonction est une gratification qui pèse sur l'avenir. Les sommes attribuées a cet avantage ne sont pas soumises a cotisations et, en France, ça pèse lourd au moment de la retraite si la voiture de fonction a été la règle pendant la majorité des années de travail. Il y a eu le débat là où je travaillais, peu d'adhésion a cette proposition malhonnête à l'époque.

A titre d'information, les cotisations retraite représentent 20% du grand total de la fiche de paie pour ceux qui cotisent a l'agirc.

   

La bagnole de fonction c'est un avantage en nature qui se substitue à du salaire. :bah:

Perso ça me ferait chier d'avoir une bagnole imposée en contrepartie d'un salaire qu'on ne me versera pas. À choisir je préfère avoir le salaire complet en €, et gérer mon budget comme je l'entends. Ma caisse ne m'ayant coûté qu'une petite fraction du prix d'une A3 neuve un peu optionnée, je suis largement gagnant en matière de pouvoir d'achat de ne pas avoir de voiture de fonction. :oui:

Très clairement ce système de rémunération permet au bénéficiaire de se faire mousser et à l'employeur de donner l'illusion de faire un cadeau. C'est surtout psychologique, mais financièrement aucun intérêt par rapport à un employeur qui verserait l'équivalent de l'avantage en nature en monnaie sonnante et trébuchante. :dodo:

Comme tu le dis ce genre de miroir aux alouettes marche bien sur les p'tits jeunes qui ne savent pas trop compter et qui sont attirés par ce qui brille... :chut:

Par

En réponse à PLexus sol-air

La bagnole de fonction c'est un avantage en nature qui se substitue à du salaire. :bah:

Perso ça me ferait chier d'avoir une bagnole imposée en contrepartie d'un salaire qu'on ne me versera pas. À choisir je préfère avoir le salaire complet en €, et gérer mon budget comme je l'entends. Ma caisse ne m'ayant coûté qu'une petite fraction du prix d'une A3 neuve un peu optionnée, je suis largement gagnant en matière de pouvoir d'achat de ne pas avoir de voiture de fonction. :oui:

Très clairement ce système de rémunération permet au bénéficiaire de se faire mousser et à l'employeur de donner l'illusion de faire un cadeau. C'est surtout psychologique, mais financièrement aucun intérêt par rapport à un employeur qui verserait l'équivalent de l'avantage en nature en monnaie sonnante et trébuchante. :dodo:

Comme tu le dis ce genre de miroir aux alouettes marche bien sur les p'tits jeunes qui ne savent pas trop compter et qui sont attirés par ce qui brille... :chut:

   

Et j'ajouterai qu'avec l'économie faite par le salarié de ne pas avoir un poste de dépense entretien/assurance lui permettra par exemple, de verser une partie de ses economies à une complémentaire retraite/prévoyance ou de l'aider à investir ailleurs...surtout si le véhicule de fonction absoue le salarié de prendre un produit financier pour un véhicule familial par exemple et réduit donc son endettement : pas pour rien si la pratique de la voiture de fonction est "culturelle" depuis bien longtemps dans les pays du nord de l'Europe (Allemagne en tête).

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En réponse à Jeremy Tsubishi

Et j'ajouterai qu'avec l'économie faite par le salarié de ne pas avoir un poste de dépense entretien/assurance lui permettra par exemple, de verser une partie de ses economies à une complémentaire retraite/prévoyance ou de l'aider à investir ailleurs...surtout si le véhicule de fonction absoue le salarié de prendre un produit financier pour un véhicule familial par exemple et réduit donc son endettement : pas pour rien si la pratique de la voiture de fonction est "culturelle" depuis bien longtemps dans les pays du nord de l'Europe (Allemagne en tête).

   

Une fois prélevée la dîme des gestionnaires de fonds, la comparaison est a l'avantage des systèmes par répartitions. Il n'y a pas de prélèvement d'opérateurs privés dans les caisses par répartition. Quand la répartition existe, tenter de la remplacer par la capitalisation est une escroquerie.

Retour des sommes versées en 18 ans pour ma complémentaire, en 30 ans pour le contrat de capitalisation (PERE). Pour ma profession, espérance de vie statistique a la date de mon départ a la retraite: 15 ans. Je serai heureux de faire plus mais il n'y a pas de certitude malgré, finalement, une vie avec moins d'abus que certains collègues.

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En réponse à Jeremy Tsubishi

Et j'ajouterai qu'avec l'économie faite par le salarié de ne pas avoir un poste de dépense entretien/assurance lui permettra par exemple, de verser une partie de ses economies à une complémentaire retraite/prévoyance ou de l'aider à investir ailleurs...surtout si le véhicule de fonction absoue le salarié de prendre un produit financier pour un véhicule familial par exemple et réduit donc son endettement : pas pour rien si la pratique de la voiture de fonction est "culturelle" depuis bien longtemps dans les pays du nord de l'Europe (Allemagne en tête).

   

C'est très exactement ce que je m'apprêtais à expliquer à Papy Cézallier.

Lui qui se targue de gérer au mieux ses budgets ( et je pense que c'est le cas ), si l'employé bénéficiant d'une auto de fonction, comprendre une auto neuve, entretenue, avec souvent l'attribution d'un budget pour les kilomètre perso week-end /vacances claque tel une cigale l'avantage induit, c'est son problème.

Un gars quelque peu conscient que la retraite arrivera à priori un jour, et qu'elle pourra durer un certain temps, utilisera cette somme ( estimons là entre 500 et 1000 € par mois ) sur son plan d'épargne type PERCO, souvent abondé par l'entreprise, pour en bénéficier quand le temps sera venu....

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En réponse à GY201

Une fois prélevée la dîme des gestionnaires de fonds, la comparaison est a l'avantage des systèmes par répartitions. Il n'y a pas de prélèvement d'opérateurs privés dans les caisses par répartition. Quand la répartition existe, tenter de la remplacer par la capitalisation est une escroquerie.

Retour des sommes versées en 18 ans pour ma complémentaire, en 30 ans pour le contrat de capitalisation (PERE). Pour ma profession, espérance de vie statistique a la date de mon départ a la retraite: 15 ans. Je serai heureux de faire plus mais il n'y a pas de certitude malgré, finalement, une vie avec moins d'abus que certains collègues.

   

Mais bien sûr.... pour ta gouverne, il existe des fonds de gestion mutualistes, comprendre non gérés par des boites gérant des fonds de pension ricains, où en effet, la perception sur la bête peut être considérable et réduire d'autant la pension versée.

Mais une simple question que je t'adresse.... il me semble que tu es assez fraîchement retraité... que tu es parti à 60 piges... tu as donc 62 ou 63 ans, quelque chose comme ça...

Ma question sera donc la suivante : on ne sait rien ici de ton état de santé, ni de ton capital génétique, mais a combien d'années estimes tu ton temps de présence résiduelle sur cette planète ?

5....15... 30....40 ????

Ma question parait stupide, mais c'est très exactement celle que se pose les gestionnaires des fonds de reversion que tu conchies Pépé Cézallier...

Alors réponds à cette simple question....et ne t'étonne pas plus que cela des sommes mensuelles jugées faibles que l'on tire d'un capital épargné. Et si tu réponds plutôt 40, ce que je te souhaite, rencarde toi sur le coût sociétal pour le maintien en survie des gens du 4 ème âge...

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J'ajoutera qu'il me semble qu'aucune étude n'est menée dans une boite d'importance pour différencier le "risque" pour la société de gestion, en fonction des populations...

Pour exemple, en effet, sans doute pas la même estimation de reste à vivre chez P'geot entre le fumeur, un peu obèse qu'aura taffé pendant 40 ans sur chaîne et le cadre sportif, juste posé derrière son écran à traiter ses mails...

D'où, forcément, un retour de versement qui, devant être de même nature exprimé en % mensuel, sera à priori bien plus favorable au second cas cité...

Par

En réponse à roc et gravillon

Mais bien sûr.... pour ta gouverne, il existe des fonds de gestion mutualistes, comprendre non gérés par des boites gérant des fonds de pension ricains, où en effet, la perception sur la bête peut être considérable et réduire d'autant la pension versée.

Mais une simple question que je t'adresse.... il me semble que tu es assez fraîchement retraité... que tu es parti à 60 piges... tu as donc 62 ou 63 ans, quelque chose comme ça...

Ma question sera donc la suivante : on ne sait rien ici de ton état de santé, ni de ton capital génétique, mais a combien d'années estimes tu ton temps de présence résiduelle sur cette planète ?

5....15... 30....40 ????

Ma question parait stupide, mais c'est très exactement celle que se pose les gestionnaires des fonds de reversion que tu conchies Pépé Cézallier...

Alors réponds à cette simple question....et ne t'étonne pas plus que cela des sommes mensuelles jugées faibles que l'on tire d'un capital épargné. Et si tu réponds plutôt 40, ce que je te souhaite, rencarde toi sur le coût sociétal pour le maintien en survie des gens du 4 ème âge...

   

Sur la base des statistiques faites sur les seuls humains ayant pratiqué ma profession, un départ a 60 ans correspond a 15 ans d'espérance de vie donc échéance statistique 75 ans, c'est la raison principale de caisses ou de contrats réservés a ces quelques professions malgré les effectifs assez faibles. Les gestionnaires de plans de capitalisation appliquent les valeurs standard liées a la population générale, dans le cas de mon PERE (Plan d'épargne retraite entreprise), le retour est au delà des 30 ans pour un calcul au 62° anniversaire. Dans le cas de la caisse de retraite complémentaire (et de prévoyance), le retour est a 18 ans pour un calcul au 60° anniverssaire. Je n'ai pas regardé pour la part sécurité sociale, pour moi elle paye l'IRPP. Tous ces calculs a partir du jour de demande des droits a la retraite, sans aucune correction liée a l'inflation a venir.

On voit de suite qu'il reste 3 ans pour la caisse par répartition et près de 10 pour le plan AXA de droit commun. Je ne connais pas les plans des assurances réellement mutualistes, ce sont les employeurs qui choisissent qui va recevoir les versement.

A noter que partout dans le monde, les possibilités de départ sont ouvertes dès l'âge de 50 ans et l'espérance de vie est directement corrélée avec l'age au jour du départ. Un point Franco Français: comme tout ce qui régit ces caisses complémentaires est la loi voté par les députés, il y a caché dans un coin un point d'importance: la garanti de l'état. Cette garantie permet a des caisses comme la MSA, la caisse de la marine marchande ou bien celle de mineurs de fond de servir les pensions en cours malgré la fin du flux de cotisations.

Quand tu parles des frais (médicaux) liés aux derniers mois de vie, ce n'est pas l'affaire des caisses de retraite.

Par

Je suis ingénieur du bâtiment, tout le temps sur la route.

Dans mon ancienne boite, je roulais en voiture personnelle. Mes km étaient remboursés. J'avais le plaisir de rouler dans une 207 CC. C'était aussi ma voiture du weekend.

Je roulais moins que les collègues et cela coutait pas plus cher à la boite que de me fournir un véhicule. Je pouvais choisir les pneus que je voulais, ne pas avoir à quémander des neiges, les remplacer avant le témoin, avoir toujours des essuie glace neufs, remplacer les HP de merde par du Focal, sieges cuir chauffants, feux de virages, etc ...

J'ai changé de boite et je suis passé à la clio et à la 208 2 places blanches. Je dois payer 17 centimes le km pour les trajets perso.

Mais je suis un ingénieur fan de voiture. Je ne peux pas rouler la dedans tout le temps. J'ai donc d'autres voitures.

Pour la boite, cela ne change absolument rien.

Pour moi, je ma tape une caisse de merde qui me fait mal au dos toute l'année et je dois payer entièrement un autre véhicule agréable. J'y perd en salaire, en plaisir, et aussi, j'ai l'impression d'être un salarié servile d'une entreprise. Ce n'est pas cela la vie.

Avant, je faisais attention à la consommation car je la payais. Maintenant, j'ai une carte GR, la conso, je m'en fiche !

Si j'étais resté en voiture perso, j'aurai bien aimé utiliser l'argent investi dans la voiture du weekend, dans une tesla modèle 3.

Mais bon, je ne vois pas ma boite nous en fournir. Pourtant, cela ne leur couterai pas plus cher, s'ils me rembourseraient que les km pro.

Il y a des choses à changer dans ce pays.

 

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