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A l’heure où Renault réinvente sa 4L, intéressons-nous à son ancien partenaire Nissan qui, dès 1987, avait à sa façon revisité le design de l’iconique bonne à tout faire française…

L'ACTU DE LA SEMAINE EN PHOTO - Alors que la vénérable 4L renaît de ses cendres, la DS4 se restyle et adopte un moteur 100 % électrique, alors que le groupe, dont dépend la marque, renonce à abandonner le thermique en 2030.

Immenses, confortables, luxueux et noblement motorisés, ces grands monospaces permettent de voyager en famille tout en préservant un grand agrément de conduite. Mieux, ils ne sont vraiment pas chers : dès 3 000 €. 

Rouler au volant d’une belle et grande routière, c’est le rêve de beaucoup d’automobilistes souhaitant avaler de longs rubans autoroutiers sans fatigue. Un rêve qui s’accompagne souvent d’un solide budget, sauf si vous regardez du côté de l’occasion.

Le nouveau petit SUV électrique de Renault se retrouve décliné dans une version « baroudeuse » avec une vraie transmission intégrale et un second moteur en bonus. La Renault 4 Savane peut-elle créer une nouvelle catégorie ?

Dans ce nouvel épisode d’Auto-Focus, le podcast audio Caradisiac, nous nous intéressons à Dacia, la marque qui monte, qui monte…et n’en finit pas de progresser malgré une gamme relativement réduite. Son secret, si tant est qu’il y en ait un ? En donner pour son argent à l’automobiliste, quand la plupart des concurrents peinent à contenir leurs tarifs. Après avoir passé en revue les forces et faiblesses des modèles de la gamme avec Manuel Cailliot, nous poursuivons l’analyse avec Michel Holtz en nous posant la question suivante : Dacia peut-il pérenniser son modèle ad vitam ?

On connaît le nom du nouveau SUV électrique de Mitsubishi. Il est bien connu dans la gamme du constructeur japonais mais cette fois, il désignera un véhicule familial au fort accent français (et un badge à trois diamants au lieu du losange).

Au terme du premier quadrimestre, plus de 1 800 000 véhicules ont déjà changé.

L’ancien patron de l’Alliance Renault-Nissan-Mitsubishi ne se prive pas de critiquer l’état actuel de Nissan et en profite pour dédaigner aussi Renault, même s’il reconnaît que le groupe au losange est « bien managé ».

L'INFO DU JOUR. Dans une interview croisée accordée au Figaro, les patrons des groupes Renault et Stellantis plaident pour une simplification des règles du marché européen, seul moyen selon eux de renouer avec une automobile "populaire". Si rien n’est fait, ils redoutent à l’inverse une division de moitié du marché européen à l’horizon 2035.