Après sept ans de carrière, la Jaguar F-Type bénéficie d’un lifting touchant principalement la face avant. Exit les projecteurs verticaux, place à des éléments horizontaux qui changent radicalement le regard de la sportive au félin. En revanche, la mécanique n’évolue pas en entrée de gamme, où officie toujours le 4-cylindres Ingenium de 300 ch. Encore dans le coup ?
Stéphane Schlesinger
Lui écrireUltralégère, minuscule et dotée d’un moteur central, la Smart Roadster complète son attrait avec un look unique. Une formule alléchante vendue fort cher à l’époque, mais qui se trouve désormais dès 4 000 €. Interdiction de rouler triste !
Établi sur la base de la Ford Fiesta IV, le petit coupé Puma se démarque par son style ainsi que ses excellentes qualités routières. Très agréable à conduire, il propose un rapport prix/plaisir imbattable ou presque !
Renouant avec une tradition abandonnée dans les années 70, Fiat a étonné en 1993 avec son Coupé au style très fort. Doté d’un bon châssis et de moteurs parfois bouillants, il se dégotte à des prix très attractifs… pour le moment !
Lancée en 2018, la Peugeot 508 deuxième du nom peine à trouver son public, se vendant trois fois moins en Europe que la VW Passat par exemple. Elle se décline désormais en version hybride « plug-in », développant 225 ch et capable, en théorie, de rouler 52 km en mode zéro émission. L’aidera-t-elle à booster les ventes ?
Ligne d’enfer, prix placés, image BMW : le Z3 a connu un grand succès, même si au départ, les moteurs proposés étaient faiblards. Mais les 6 cylindres sont arrivés dès 1996, et là, le roadster allemand a énormément gagné en séduction.
En France, le Peugeot 3008 écrase les ventes des SUV moyens depuis 2016 grâce à son look mais aussi son agrément. Il renforce son attrait en optant pour l’hybridation, qui en fait – enfin – un 4x4 et lui offre jusqu’à 300 ch. Mais à 53 800 €, la version Hybrid4 GT en vaut-elle la peine ?
La Clio III RS bénéficie sous sa carrosserie spécifique d’un châssis aux petits oignons. Pas sûr qu’il existe mieux à l’heure actuelle ! De plus, elle est la dernière à utiliser un gros moteur atmo. Il est temps de préserver ce pur collector.
Au début des années 70, Ernst Fuhrmann, patron de Porsche, décide que les moteurs arrière refroidis par air ont fait leur temps et décide de les remplacer par une mécanique logée à l’avant, et refroidies par eau. Une révolution étrange qui débute en 1975 par la 924, remplaçant la 914. Déclinée en 944 dès 1981, elle ne fait pas l’unanimité mais se vend correctement. Aujourd’hui elle d’accéder au mythe Porsche et à l’esprit youngtimer dès 6 000 €, la 944 valant à peine plus cher…
Deuxième Citroën créée après le rachat par Peugeot, la Visa a rencontré un certain succès, malgré sa laideur initiale. Suivant la mode de son époque, elle s’est même déclinée en une très intéressante GTI reprenant la mécanique de la Peugeot 205 du même nom. Presque aussi performante que la sochalienne, plus pratique avec ses 5 portes mais dénuée d’aura, elle n’a connu qu’une modeste carrière, malgré son prix attractif.