C'est le coup de tonnerre dans la torpeur estivale. Alors que MV Agusta s'interroge sur un avenir orageux avec l'étoile Mercedes AMG qui détient 25% de son capital, tandis que le blason de Varese semble à la croisée des chemins et vaciller sur ses bases, voici qu'il nous promet un modèle inédit frappé d'un Z jusque-là seulement connu de l'élite automobile.

Les restrictions de circulation à Paris pour les véhicules anciens stigmatisés comme polluants seront imposées. Mais la résistance sera d'actualité. Une fronde nécessaire lorsque l'on sait que toutes les grandes villes seront encouragées à ne plus donner droit de cité aux engins qui sont le quotidien du plus grand nombre qui blanchira sous le joug du diktat vert.

C'est l'une des grandes nouveautés sur laquelle insiste le blason Indian. Détecter les signaux de fumée, se diriger aux étoiles, c'est bien et ça correspond bien à l'emblème de la marque. Mais profiter des dernières technologies et jouir des satellites au-dessus de nos têtes, ce n'est pas mal non plus.

Les choses vont vite dans le domaine du marketing et de la publicité. Il suffit d’un accident, d’un doute, pour que tout ce que l’on croyait acquis s’efface. Jusqu’à un accident mortel faisant succomber le passager d’une Tesla qui le conduisait au travers de son dispositif Autopilot, l’automobile roulait à grande vitesse vers son autonomie. Mais depuis, l’opinion publique a comme changé d’avis.

C’est une enquête du quotidien britannique The Guardian sur le travail des enfants qui a mobilisé certains constructeurs automobiles. Et pour cause : ils y sont indirectement accusés de favoriser un esclavage des temps modernes en Inde. En cause, l’extraction dans des conditions épouvantables d’un minéral appelé mica.

Pour le projet Titan ce serait un choc. Une ambition du géant Apple qui a décidé de beaucoup investir pour mieux se présenter en leader de la future ère promise à la voiture autonome. Oui mais voilà, la logique rattrape le rêve et la pomme découvre chaque jour un peu plus que l’on ne s’improvise pas constructeur d’automobiles. En revanche, on peut travailler avec eux.

Pendant que le compatriote Harley-Davidson développe sa théorie LiveWire sur le sujet de la moto électrique, Victory, lui, en est bel et bien aux travaux pratiques. Avec cette Empulse TT, le blason compte même une rallonge d'avance sur la concurrence.

Le chiffre n'est pas anodin et ce d'autant moins qu'il ne concerne pour le moment que les Etats-Unis. Chez Harley-Davidson, entre les rumeurs d'attaques en bourse et des soucis de freins sous investigation, l'été n'est pas de tout repos. C'est maintenant au tour de l'embrayage de faire des siennes.

Alors que les constructeurs Japonais se retrouvent ce week-end pour leur joute favorite de 08h00 en Endurance sur le tracé de Suzuka, l'un d'eux a décidé de dégainer deux versions d'une de ses machines pour égayer l'été. Suzuki est celui-là et la marque d'Hamamatsu décline sa GSX-S1000 en deux vocations : une carbone et une Tour Edition.

Barry Sheene à l'écran, voilà que ça se précise. L'alerte avait été donnée déjà en février dernier, et, depuis, l'attente est d'actualité. Avec cette piqûre de rappel, on est soulagé de voir que l'opus se précise. Mais on est toujours dans l'incertitude sur une date de sortie. Un beau cadeau de Noël ?