Après Citroën, c’est Opel qui rappelle ses BlueHDi
Une nouvelle vague de problèmes semble arriver sur les rives du groupe Stellantis. Même si le défaut relevé ici semble peu grave.
Il y a quelques jours, nous vous faisions part d’un rappel organisé par Citroën sous la référence JTT. Cette opération vient à prévenir de la possible défaillance de l’injecteur d’urée sur certains moteurs BlueHDi et qui avait entraîné le passage en atelier de plus de 4 000 SpaceTourer et Jumpy sur le seul territoire hexagonal.
En toute logique, ce problème ne se limite pas à la marque au double chevron et il est plus que probable que les autres labels du groupe utilisant ces blocs, c’est-à-dire principalement ceux issus de l’ex-PSA, doivent organiser des rappels similaires à court terme. C’est d’ailleurs, depuis peu, le cas d’Opel (qui commercialise ces motorisations sous la simple appellation Diesel).
Des Astra, des Mokka, des Grandland… et des Berlingo
Étrangement, la marque frappée du Blitz se montre moins bavarde que sa cousine Citroën sur le sujet. En recoupant différentes sources, on apprend toutefois que ce rappel, ici référencé KIV, concernerait plus de 2 000 voitures en France : Mokka, assemblés du 5 janvier au 6 septembre 2023, Astra fabriquées entre le 19 juillet 2022 et le 11 juillet 2023, et Grandland sortis de chaîne à compter du 26 septembre 2022 et jusqu’au 2 septembre 2023.
Rappelons qu’il s’agit ici d’installer une nouvelle version du logiciel d’étalonnage de l’unité de commande électronique du moteur (ECU) afin d’empêcher que le véhicule produise des émissions d’oxyde d’azote (NOx) supérieures à la limite réglementaire.
A noter que, dans le même temps, Citroën vient de compléter son premier rappel avec un autre baptisé JZC et touchant, cette fois-ci, 24 814 Berlingo produits en 2022 et 2023.
Déposer un commentaire
Alerte de modération
Alerte de modération