La récente actualité a certainement joué en défaveur des "grid girls", ces filles de la grille de départ en Formule 1 qui devront trouver une autre activité temporaire. C'est en tout cas ce qu'a décidé le propriétaire actuel de la Formule 1, qui veut les remplacer par des enfants, les grid kids.
Elles étaient sur les grilles de départ, attirant l’attention par leur plastique devant de rutilants bolides prêts à se lancer dans une compétition mécanique effrénée. Un espace de liberté avec ses propres codes qui a été rattrapé par une époque où le principe de précaution l’emporte sur l’initiative assumée, le tout sur un fond d’ordre moral d’autant plus avilissant et dangereux qu’il arrive à ses fins sous le couvert d’un discours progressiste historiquement contraire. Dont acte, nous n’aurons plus de "grid girls" en Formule 1 et ce serait une avancée pour la condition féminine. Sauf que les libérateurs n’ont jamais demandé l’avis des intéressées ce qui est une étonnante conception du respect. Et aujourd’hui, les bannies réagissent.
Le nouveau propriétaire des droits commerciaux de la Formule 1 a souhaité mettre fin à la présence des filles "potiches" sur la grille de départ, une tradition jugée "en contradiction avec les normes sociétales actuelles".
Le 24 juin, le départ du Grand Prix de France pourrait être donné à 16h10, afin de ne pas avoir lieu en même temps qu'un match de l'Angleterre pour la Coupe du Monde de foot.
Dans une vidéo publiée sur son compte Instagram, Lewis Hamilton se moquait de son neveu qui portait une robe de princesse. Le pilote de Formule 1 vient de publier des excuses.
Avec une modeste sixième place l'an dernier au classement des constructeurs et une saison de retour en demi-teinte, Renault ne peut faire que "mieux". Et le recrutement d'un ingénieur polonais de 40 ans pourrait aider la marque au losange. Mais cette embauche fait grand bruit : l'intéressé occupait auparavant un poste stratégique à la fédération internationale automobile, lui permettant d'en savoir beaucoup sur l'ensemble des écuries.
Indice - On espère ne plus le voir…
Romain Grosjean aura-t-il un trident sur les culasses de son V6 l'an prochain en Formule 1 ? C'est en tout cas ce qu'annoncent nos confrères d'Autoexpress qui expliquent que Maserati injecterait 20 millions d'euros dans l'écurie Haas pour faire son retour en Formule 1 après des dizaines d'années d'absence dans la compétition reine.
L'écurie Sauber, qui fait l'actualité depuis la semaine dernière pour sa future association avec Alfa Romeo en F1 pour le grand retour du "biscione", n'aura pas tardé à nous montrer la première image de ce à quoi pourrait ressembler une F1 estampillée Alfa Romeo. La dernière fois que cela était arrivé, c'était à la fin des années quatre-vingt.
Alfa Romeo vient de signer un partenariat de plusieurs années avec Sauber. L'italien sera de nouveau visible en 2018 sur les grilles de départ après 30 ans d'absence.
Rechercher par sous-rubrique dans Sport Auto