Un comité d’élus et d’universitaires souhaite l’interdiction de tous les sports mécaniques en France. Ils s’en expliquent dans une tribune publiée sur le site Mediapart et avancent des arguments pour le moins fallacieux. En vrac, la course auto serait un sport de riches, de dopés et même de néonazis. Va t-on vers un drapeau rouge définitif pour les sports mécaniques en France ?
La reprise de la saison de Formule 1 est l'occasion de donner un coup de projecteur sur celle que l'on apprécie voir le moins souvent possible : la safety car. Portant les badges Mercedes et AMG depuis 1997, celle de cette année est la plus puissante de l'histoire.
Renault jouera quelque peu à domicile lors du nouveau Grand Prix de France puisque la marque française et écurie de F1 annonce être partenaire officiel de l'évènement. Attendez-vous à des animations et des affichages en lien avec le constructeur un peu partout sur le site du circuit Paul Ricard.
La récente actualité a certainement joué en défaveur des "grid girls", ces filles de la grille de départ en Formule 1 qui devront trouver une autre activité temporaire. C'est en tout cas ce qu'a décidé le propriétaire actuel de la Formule 1, qui veut les remplacer par des enfants, les grid kids.
Elles étaient sur les grilles de départ, attirant l’attention par leur plastique devant de rutilants bolides prêts à se lancer dans une compétition mécanique effrénée. Un espace de liberté avec ses propres codes qui a été rattrapé par une époque où le principe de précaution l’emporte sur l’initiative assumée, le tout sur un fond d’ordre moral d’autant plus avilissant et dangereux qu’il arrive à ses fins sous le couvert d’un discours progressiste historiquement contraire. Dont acte, nous n’aurons plus de "grid girls" en Formule 1 et ce serait une avancée pour la condition féminine. Sauf que les libérateurs n’ont jamais demandé l’avis des intéressées ce qui est une étonnante conception du respect. Et aujourd’hui, les bannies réagissent.
Le nouveau propriétaire des droits commerciaux de la Formule 1 a souhaité mettre fin à la présence des filles "potiches" sur la grille de départ, une tradition jugée "en contradiction avec les normes sociétales actuelles".
Le 24 juin, le départ du Grand Prix de France pourrait être donné à 16h10, afin de ne pas avoir lieu en même temps qu'un match de l'Angleterre pour la Coupe du Monde de foot.
Dans une vidéo publiée sur son compte Instagram, Lewis Hamilton se moquait de son neveu qui portait une robe de princesse. Le pilote de Formule 1 vient de publier des excuses.
Avec une modeste sixième place l'an dernier au classement des constructeurs et une saison de retour en demi-teinte, Renault ne peut faire que "mieux". Et le recrutement d'un ingénieur polonais de 40 ans pourrait aider la marque au losange. Mais cette embauche fait grand bruit : l'intéressé occupait auparavant un poste stratégique à la fédération internationale automobile, lui permettant d'en savoir beaucoup sur l'ensemble des écuries.
Indice - On espère ne plus le voir…
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