Après une Journée Test catastrophique, un forfait aux 1000 km de Spa, au mois dernier, on pouvait craindre le pire du côté d’Aston Martin Racing qui alignait ses nouvelles AMR-One.
C’est une interview un peu particulière que je vous propose maintenant grâce à Richard Hein, pilote de la OAK Pescarolo Judd n°24, qui a bien voulu nous recevoir alors qu’il était pris en charge par son kiné, sur le coup de 20h35, pour une séance qui allait durer 25 mn.
Alexandre Prémat a laissé sa place à Dominik Kraihamer au volant de l’Oreca 03-Nissan, après avoir porté la n°48 en tête après les problèmes rencontré par Signatech.
Soheil Ayari ronge son frein : il n’a pas encore pris le volant depuis le départ de la course. Après que Franck Mailleux ait pris le départ, c’est Lucas Ordonez qui a pris la suite.
Rapide point sur la course du OAK Racing. En LMP1, les n°15 et 24 occupent respectivement les 47è et 15è positions. En LMP2, les n°35 et n°49 sont respectivement en 20è et 42è positions. La stratégie prévue hier est quelque peu bousculée.
Le début de course aux 24 Heures du Mans a été marqué par l’accident d’Allan McNish sur l’Audi R18 n°3, alors que l’heure de course n’était pas encore passée.
Ce matin, avant que la Mazda 787B ne prenne la piste le midi avec Johnny Herbert, vainqueur à son volant des 24 Heures 1991, nous avons pu rencontrer Pierre Dieudonné qui avait couru cette édition-là sur une version 787 datant de l’année précédente. L’occasion d’évoquer quelques souvenirs et de revenir sur cette première victoire d’un constructeur japonais au Mans.
L’an dernier nous avions profité des 24 Heures du Mans pour rendre visite à l’une des écuries localisées au Mans, DAMS. Cette écurie très connue pour son implication en monoplaces (aujourd’hui notamment en GP2 avec Romain Grosjean) dispose aussi d’une importante expérience aux 24 Heures. L’an dernier justement, son directeur général, Loïc Duval, nous avait fait part du désir de l’écurie de revenir au Mans.
On a eu très peur sur le coup de 15h50 lorsque l’Audi n°3 alors pilotée par Allan McNish s’est littéralement crashée juste après la Chicane Dunlop après avoir heurté la Ferrari n°58.
Si jamais vous vous rendez aux 24 Heures du Mans d’ici la fin du week-end ne soyez pas surpris par la présence de Nissan. Le constructeur japonais a massivement investi dans l’enceinte du circuit, notamment en promouvant son récent Juke.
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