
La fraicheur du climat économique a tendance à gripper la gestion des circuits qui se retrouvent à piloter à vue, au bord du gouffre abyssal de leurs dettes. Le Sachsenring a tout juste sauvé sa peau, on apprend des Etats-Unis que les travaux ont repris à Austin, du côté de Valence on ne sait pas comment on va gérer l'indispensable rénovation du site et voilà qu'à présent, Jerez de la Frontera revient dans la spirale infernale.