C'est une incroyable enquête longue de cinq ans qui vient enfin de prendre fin. D'importants moyens de gendarmerie ont été mis en place pour interpeller un brûleur de voiture en série, qui a mis le feu à quelque 900 véhicules. Le préjudice est estimé à 2,5 millions d'euros.
Une action de groupe vient d'être enregistrée aux Etats-Unis contre General Motors, qui aurait vendu des pick-up à moteur diesel Duramax mal conçus. Ils n'accepteraient pas le gazole distribué aux Etats-Unis, avec au final, une casse moteur après la désagrégation de la pompe à injection.
Une lettre d'avocat envoyé par Ferrari menace le couturier Philippe Plein de finir devant les tribunaux. La firme italienne reproche en effet à l'entrepreneur d'utiliser sa 812 Superfast personnelle sur les réseaux sociaux parmi plusieurs voitures de luxe pour promouvoir sa marque de chaussures.
L’épicentre de cette affaire d’escroquerie notoire se situe à Saint-Lô où un homme de 42 ans avait plus d’un tour dans sa manche. Un autoentrepreneur qui avait trouvé le filon du commerce des véhicules d’occasion au kilométrage revisité à la baisse. Une activité lucrative puisque l’on parle de 2 millions d’euros, mais tout à une fin…
Les victimes pensaient dormir du sommeil du juste mais le réveil était ensuite brutal. Nauséeuses et en proie à des troubles de la mémoire, elles souvenaient pourtant n’avoir jais rien fait pour se retrouver avec une gueule de bois et un garage vide. Car nuitamment, le véhicule, d’une gamme que l’on qualifiera de premium, avait disparu, comme ses clés de contact. Un mystère nocturne, mais la Gendarmerie veillait…
C'est l'histoire d'un homme obstiné et très patient. Michel Monsacré, 72 ans, va toucher cinq millions d'euros d'indemnisation après un accident de la route, qui a eu lieu… en 1982.
Les lettres de Lucille de Seguins ont rendu chèvre la mairie de Nanterre en apportant de l’eau au moulin d’une contestation globale des habitants de l’avenue de Rueil. En cause, l’instauration d’une zone de stationnement payant qui n’offre pas de tarif résidentiel. Une bisbille qui dure depuis 2015 et qui a amené à des verbalisations contestées. À raison, si l’on en juge par cette décision de la juridiction administrative.
À peine sa dernière garde à vue terminée hier, Carlos Ghosn a de nouveau été mis en examen, sa quatrième, cette fois-ci pour détournement de fonds.
Il est de bon ton d’accuser la justice japonaise de s’obstiner, de torturer et d’infliger les pires sévices (mentaux) à l’ex-PDG de l’Alliance. Mais non seulement la procédure, celle d’un pays démocratique, est respectée, mais l’homme a quelques bonnes raisons de se les voir infliger.
Un mois après sa libération sous caution, Ghosn a été interpellé à son domicile japonais. Il est cette fois soupçonné d'avoir détourné de l'argent de Nissan à son profit.
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