Malgré un marché instable et une pénurie de semi-conducteurs, le géant allemand Volkswagen a enregistré un bénéfice net de 15,4 milliards € en 2021. Des chiffres en progression alors même que le groupe a vendu moins de véhicules en 2021 qu’en 2020.
Préparateur renommé et constructeur indépendant, Alpina vient d’être racheté par BMW. Une nouvelle étape pour l’entreprise, déjà spécialisée dans la préparation de véhicules siglés BMW.
Conséquence du conflit qui fait rage en Ukraine, le prix du baril de pétrole de WTI américain a dépassé les 110 dollars. Un seuil également franchi par le Brent. Pour faire face aux difficultés et tenter d’éviter la flambée des prix, le président des États-Unis, Joe Biden a annoncé le déblocage de 30 millions de barils issus de la réserve d’urgence du pays.
Christophe Périllat, le nouveau directeur général de Valeo a présenté le plan stratégique de l’équipementier automobile pour les années à venir. Le développement de la mobilité électrique et des aides à la conduite est au cœur de cette stratégie.
Et si l’introduction en bourse de Porsche était imminente ? Deuxième groupe mondial, Volkswagen serait en train de finaliser un accord avec les différentes parties pour acter une entrée en Bourse de Porsche. Un actif estimé entre 60 et 80 milliards.
Le groupe né de la fusion entre PSA et Fiat a dégagé un bénéfice record de plus de 13 milliards d'euros lors de sa première année. Les salariés français vont toucher une prime de 4000 €.
Malgré une période difficile pour le marché automobile, les résultats financiers de l’année écoulée et dévoilés aujourd’hui par Renault Group sont plus que satisfaisants. Avec des perspectives financières largement dépassées en 2021, Renault Group peut plus que jamais se tourner vers l’avenir sereinement.
Le 1er février dernier, Daimler AG, qui regroupait l'ensemble des activités du groupe de Stuttgart a été scindé en deux entités. Du coup, le nom de l'entreprise a changé. Daimler est mort, vive Mercedes-Benz. Un changement qui n'est pas que symbolique. Explications.
Sur le sujet autoroutier, régulièrement médiatisé, il est pour le gouvernement urgent de ne rien faire. À l’entendre, la nationalisation des sociétés d’autoroutes (ou la rupture anticipée de leurs contrats) coûterait trop cher à l’État, de l’ordre de 40 à 50 milliards d’euros, alors qu’il suffit de patienter jusqu’à la fin des contrats avec Vinci, Eiffage et Abertis pour pouvoir reprendre la main sans rien avoir à débourser. Vrai ? Pas du tout… Retour sur cette problématique pour essayer d’y voir plus clair.
Le groupe Volkswagen réfléchit encore à introduire Porsche en Bourse, alors que le projet semblait avoir été mis en pause. L'objectif est de lever d'importantes sommes d'argent pour financer la transition électrique.
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