La mise en place des Zones à Faibles Emissions ne pourra se faire que progressivement, tant elle risque de cristalliser les rancoeurs de ceux qui n'ont pas les moyens ou l'envie d'acheter un véhicule récent.
Une tribune publiée ce week-end loue les vertus écologiques d'une limitation à 110 km/h sur autoroute. Bonne idée, vraiment?
Le gouvernement français donne des précisions sur son plan de sobriété visant à éviter les complications cet hiver liées à la crise énergétique. Les automobilistes sont eux aussi concernés, mais il n'y a aucune mesure contraignante.
Les patrons de Renault et de Stellantis se sont rencontrés à l’initiative de nos confrères du Parisien. L’occasion pour les deux hommes, très souvent sur la même longueur d’onde, de fustiger la bascule programmée vers le tout électrique, tout en l’acceptant. Un paradoxe ou une fatalité ?
Comme la Californie, New-York veut interdire les voitures thermiques d'ici 2035. Mais sans bannir les véhicules hybrides.
Alors que l'existence même des ZFE en ville fait toujours débat, certaines collectivités vont au secours des propriétaires de voitures bientôt interdites d'y circuler. La solution ? Une simple conversion à l'éthanol E85.
Dans le texte du projet de loi de finances 2023, 30 millions d'euros devraient être consacrés au fameux "leasing social automobile". Mais la mesure ne concernerait que 10 000 autos par an. Lesquelles pourront être louées 100 euros par mois seulement ? Mystère.
Attention, il ne s'agit pas d'un nouveau dieselgate, ou essencegate, mais des émissions polluantes qu'une auto envoie dans l'atmosphère tout au long de sa vie. Ces données, les constructeurs doivent les fournir à leurs investisseurs, de plus en plus soucieux en matière d'écologie. Car s'ils n'en disposent pas, ou si elles sont trop élevées, ils seront sanctionnés.
Ce dimanche 18 septembre 2022, l'opération "Paris respire" excluait les voitures dans son centre-ville entre 11h et 18h. Alors, respire-t-on mieux que personne ne roule ?
En matière de réduction de la pollution de l’air, l’État n’agit pas assez vite, et va devoir, de nouveau le payer cher. Reçu par le Conseil d’État ce lundi, le rapporteur public a ainsi estimé que l’État avait échoué à renforcer sa politique climatique afin d’améliorer la qualité de l’air dans les villes, et a recommandé une nouvelle condamnation à verser 20 millions € supplémentaires.
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