Selon une nouvelle étude de Transport & Environment, une norme Euro 7 « robuste » permettrait de réduire de 50 % la pollution de dioxyde d’azote et de sauver des milliers de vies en Europe.
Invitée de FranceInfo la semaine passée, Marine Tondelier a expliqué « qu’on a un problème de rapport à la bagnole dans ce pays, qui est en partie subi ». Et si, sur ce point au moins, la patronne des Verts voyait juste ?
Une consultation publique sur les ZFE-m, menée par la commission de l’aménagement de territoire et du développement durable du Sénat, met à mal le développement actuel des Zones à faibles émissions mobilité.
Comme l’Italie et six autres pays de l’Union Européenne, la France s’oppose au projet actuel de la norme Euro7 qui doit durcir les règles de pollution et d’émissions de CO2 à partir de 2025.
Une nouvelle étude commandée par l’ACEA met en avant le coût élevé pour mettre en conformité les véhicules pour la norme Euro 7. Un coût qui serait nettement supérieur à celui estimé par la Commission européenne.
La lutte contre le réchauffement climatique passe plus que jamais par l’automobile, sommée de se verdir rapidement pour répondre aux objectifs des pouvoirs publics. La première ministre Elisabeth Borne a détaillé les premiers contours de la trajectoire permettant une baisse des émissions de CO2 des transports.
Depuis le 20 mai, les centres de contrôle technique relèvent une nouvelle donnée, celle de la consommation d’énergie, de carburant et d’électricité, afin de les transmettre à la Commission européenne. Le but est alors de comparer les consommations réelles avec les données homologuées, dans un premier temps.
Dès 2024, la ville de Lyon va mettre en place un tarif de stationnement dépendant de la masse du véhicule. La plupart des voitures électriques seront épargnées, mais pas toutes.
Le couperet est tombé. Après de nombreuses discussions et interrogations, la Zone à faibles émissions de Bordeaux n’entrera finalement en application que le 1er janvier 2025, soit le plus tard possible.
La politique anti-voitures de la mairie de Paris pousse-t-elle les automobilistes à préférer d’autres moyens de transport ? Le nombre de voitures immatriculées est en baisse de 1,2% dans le Grand Paris entre 2021 et 2022. Il décroit depuis 2018.
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