En proposant de limiter la vitesse à 110 km/h sur autoroute, la Convention citoyenne sur le climat place l’Elysée dans une situation pour le moins délicate.
30 km/h en ville, 110 km/h sur autoroute, et des idées de taxes en tous genres au nom de l'écologie: entre la campagne des municipales qui s’achève et la Convention citoyenne sur le climat, on assiste actuellement à un concours d'"automobile-bashing". Remettons un peu de bon sens dans tout cela.
La CCC (Convention Citoyenne sur le Climat) a rendu ses propositions dans de nombreux domaines. Pour l'automobile, l'idée serait de passer les autoroutes à 110 km/h. Ce n'est qu'une proposition citoyenne qui n'aura pas forcément vocation à passer par le décret. Il faut quand même rappeler qu'à 130 km/h, nous sommes toujours "privilégiés" en Europe.
Pour ces ONG, faire de la pub pour l'automobile, c'est faire de la pub pour les énergies fossiles, et pour un secteur qui contribue au réchauffement climatique. Elles demandent une "loi Évin Climat" adaptée aux transports.
La production d'hydroxyde de lithium est presque exclusivement faite en dehors d'Europe en 2020. Mais certains pays réfléchissent à des solutions pour en produire localement. En Allemagne, une usine pourrait filtrer l'eau pour en extraire le lithium et produire 2000 tonnes par an.
Le gouvernement mise sur le pneumatique rechapé en incitant les collectivités à opter pour cette économie circulaire, notamment pour les véhicules lourds de service.
Même les pétroliers en ont pris acte: les dix années à venir sont celles qui verront s’imposer l’électricité dans l’automobile. Voici comment.
L'institut suédois de recherche sur la sécurité des transports a publié une étude montrant que l'on considère encore très peu le rôle des pneus dans la pollution aux microparticules, et surtout leur impact sur l'environnement, et pas seulement sur la santé humaine.
Faut-il faire relancer l’automobile plein gaz ou rouler plus sobre, plus modeste et user nos voitures ? On peut bien se poser la question, ce sont nos modes de vie qui arbitreront. Deux hypothèses pour l’après Covid.
Le constructeur chinois BYD, un des premiers vendeurs mondiaux de véhicules électriques, prépare son offensive européenne avec son SUV électrique, le Tang. La marque dévoile également la berline Han EV, qui se pose déjà comme une alternative à la Tesla Model S.
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