Une enquête de l’Avere-France révèle une nette progression des achats de véhicules électriques chez les professionnels, nouveau canal porteur pour ce type de motorisation. Avec de grandes disparités selon la taille de l’entreprise… Et beaucoup d’incertitudes sur la valeur résiduelle des modèles.
L’opérateur de taxis à hydrogène Hype abandonne ce type de motorisation en Île-de-France au profit de voitures électriques à batterie. L'entreprise avance deux raisons pour expliquer ce changement de cap : l'inflation tarifaire, due à une situation de quasi-monopole des distributeurs du secteur, et la fragilité de la filière.
Après s'être mis à dos une partie de ses clients professionnels en 2021, Stellantis se lance dans une mission reconquête pour regagner la confiance du marché B2B. Les 10 marques du groupe sont mises à contribution.
Les modalités du leasing social 2025 se dévoilent. Un arrêté paru hier au Journal officiel prévoit 50 000 bénéficiaires cette année. Le système perdurera jusqu'en 2030 mais sera moins généreux.
Selon un sondage mené par le télématicien Océan, les flottes demeurent majoritairement thermiques. Notamment dans les petites structures. La moitié des entreprises interrogées voient la transition énergétique comme un « défi opérationnel majeur »
Dans un paysage fiscal et réglementaire automobile en pleine mutation, la start-up française Nelson lance un nouveau logiciel de prévision du coût total de possession d’un véhicule en flotte. De quoi permettre d'éclairer les entreprises dans leur politique de verdissement de leurs flottes.
La voiture n'est plus la seule option. Pour répondre aux attentes de leurs salariés, les entreprises repensent leur politique de mobilité avec la mise en place de nouvelles propositions multimodales. Décryptage avec David Decultot, responsable du département consulting chez Ayvens France, acteur du secteur de la location longue durée et de la gestion des mobilités en entreprise.
Les primes d’assurance des voitures électriques ont augmenté trois fois plus vite que celles des autres véhicules. Une hausse vertigineuse due à l'augmentation des coûts de réparation mais également à l'application d'une nouvelle taxe.
Le secteur des transports enregistre en 2024 une baisse de 1,2 % de ses émissions de gaz à effet de serre. Malgré tout, les véhicules demeurent toujours les premiers émetteurs. Le mieux, ennemi du bien ?
Les intentions d'achats de voitures électriques connaissent une sérieuse baisse de tension en France, alors que les motorisations thermiques regagnent de l'intérêt. Il y a comme un court-circuit sur la route de la décarbonation.
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