Abarth 124 Rallye Tribute : victorieuse - En direct du salon de Genève 2019
Abarth fête ses 70 ans cette année, et profite du coup du salon de Genève pour l'afficher en grand. Deux séries spéciales sont là pour marquer le coup, mais pas que pour l'anniversaire en ce qui concerne la 124 Spider.
Le scorpion d'Abarth affiche désormais un âge vénérable, avec 70 ans au compteur. Pour marquer le coup, la marque a organisé sur son stand une petite exposition de modèles historiques, et en profite pour montrer deux séries spéciales. Une qui concerne la 595, dont Alexandre vous a parlé ici, tandis que l'autre se base sur la 124 Spider.
Et celle-là ne fait pas que fêter un anniversaire. Elle est surtout là pour rendre hommage à la victoire de la 124 en série FIA R-GT. C'est en fait une série limitée à 124 exemplaires (tiens donc), tous dotés d'une plaque numérotée. Si le moteur reste le 1.4 turbo de 170 ch, qui permet un 0 à 100 km/h en 6,8 secondes et une vitesse maxi de 232 km/h, la carrosserie se pare d'attributs spécifiques.
Deux couleurs sont disponibles, un rouge Costa Brava ou un blanc Turini, comme le modèle exposé. Le milieu du bouclier avant et les rétros sont rouge racing (et en gris bronze pour la rouge), le capot adopte un noir mat, en clin d'œil à la 124 originelle de course. C'est tout simplement pour moins éblouir le conducteur. Jusque-Là, elle ressemble donc à la 124 Spider Turismo. Mais les jantes sont spécifiques, plus légères (elles font gagner 4 kg), et peintes en blanc. Sur les ailes, un logo "Champion R-GT Cup tribute" se charge d'annoncer le pedigree de la machine...
En option, le toit souple se verra accompagné d'un hard-top en carbone. Enfin, côté échappement, on trouve la ligne Record Monza à clapet actif et deux doubles sorties, tandis que les freins sont signés Brembo avec étriers rouges.
Dans l'habitacle, pas de modification à signaler. On trouve toujours une sellerie cuir siglée Abarth et un volant avec sa marque rouge indiquant le point milieu.
On ne connaît pas encore le prix de cette série limitée, mais ça devrait piquer un peu, surtout si l'on opte pour le hard-top en carbone.
L'instant Caradisiac : la peur du visiteur "non-journaliste"
Pour prendre une photo des entrailles de la bête, j'ai tout bêtement ouvert le capot. Que n'avais-je pas fait là ! Une hôtesse s'est ruée sur moi pour me dire que non, ce n'était pas autorisé. Et puis elle a vu que j'avais un badge presse. Retournement de situation... "Ah, ok, alors pour vous, c'est possible, allez-y..." et de préciser "pour les autres on n'accepte pas car tout le monde le ferait et c'est trop risqué." Bien, ok. Il faut dire qu'en cette deuxième journée presse, lorsque j'ai réalisé les clichés, il y a dans les allées du salon plus de non journalistes que de confrères.
Photos (10)
Déposer un commentaire
Alerte de modération
Alerte de modération