Sous le capot, la principale nouveauté concerne l’apparition des versions 220 CDI Bluetec (majorité des ventes) et 250 CDI Bluetec qui répondent d’ores et déjà aux futures normes Euro 6, grâce au système anti-Nox (monoxyde d’azote) à base d’urée. Ce 4 cylindres diesel très coupleux (500 Nm) anime vigoureusement les 2 tonnes du GLK. Grâce à sa double suralimentation, il reprend très bas et montre une belle linéarité dans ses montées en régime. Moins raffiné que son homologue V6, il se montre en revanche un poil trop présent dans l’habitacle pour un véhicule de ce standing. Un moteur plein de tonus (204 ch) qui est desservi par la boîte automatique 7G-Tronic. Cette dernière, se montre brutale en manœuvre et peu réactive à l’utilisation. Misez plutôt sur la boîte mécanique. Malgré ce désagrément, le GLK 250 CDI Bluetec est sobre comme un moineau. À peine 7 l/100 km réclamés sur un parcours mixte et soutenu (moyenne relevée à l’ordinateur de bord). Un V6 diesel 350 CDI, non testé, fait également son apparition au catalogue.
2. Sur la route : modèle de confort
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