Des synergies, il risque d’y en avoir davantage entre Nismo et Renault Sport dans les années à venir. Les groupes motopropulseurs sont chers à développer et les volumes de Nismo et Renault Sport demeurent faibles. Les deux parties, à travers Nissan et Renault, ont donc toutes les raisons de collaborer sur ce secteur clé, celui du développement et du partage des mécaniques. Tel est déjà le cas avec le 4 cylindres 1,6 litre turbo. Sauf qu’à l’avenir, les coopérations seront plus nombreuses et plus systématiques entre Nismo et Renault Sport.
Dans le domaine des motorisations de faible ou moyenne cylindrée c’est sans doute Renault Sport qui aura l’initiative. Au contraire, dans le domaine des fortes cylindrées, l’initiative devrait échouer, dans un premier temps du moins, à Nismo.
La prochaine collaboration prévue pourrait toucher un quatre cylindres 2,0 litres turbo.
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