Il n'y a rien à faire, je n'aime pas. Je n'aime pas la ligne de la Ferrari 365, toute GTB4 qu'elle puisse être. Pourtant, j'ai beau me convaincre que cette Ferrari a été réalisée par la dream team classique italienne, que ce soit pour le moteur ou la carrosserie, mais je ne lui trouve aucun charme.
J'ai pourtant essayé de l'observer sous toutes les coutures, la sauce ne prend pas... Ce n'est pas pour autant que je dirais que c'est une mauvaise auto, bien au contraire. Cette 365, qui au passage était la réponse du berger à la bergère, comprendre d'Enzo à Ferruccio, a poussé Ferrari à entrer définitivement dans le monde des GT ultra-sportives.
Moteur V12 surpuissant, confort, performances, ligne racée, elle a tout d'une grande GT ! D'ailleurs, si vous avez 250 000 euros à claquer pour acquérir un jouet pour le week-end et la ballade, c'est tout à fait indiqué...
Cependant, un élément me fait un peu peur si je devais (mais vous aurez compris que ce ne sera jamais le cas) en acheter une. Le V12 Colombo, une pièce d'orfèvrerie, est composé de quatre arbres à cames en tête et il est alimenté par 6 carburateurs Weber double corps de 40 mm.
L'enfer que cela doit être à régler... et je ne parle même pas de l'entretien. Quoi qu'il en soit, les 1406 exemplaires produits ont probablement du faire 1406 conducteurs parfaitement comblés, et bien plus lors de la revente. Et une fois n'est pas coutume, cela fait particulièrement plaisir d'en voir certaines rugir (imaginez la sonorité avec un échappement pareil), lors du Tour Auto !
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