Si l’auto porte le nom VDS et a été commanditée par Raphaël van der Straten, bien connu du monde du GT de compétition, c’est un autre Belge, Tony Gillet, qui a conçu l’auto.
« A la base, Raphaël avait dans l’idée de se faire construire une Vertigo rien que pour lui. Raison pour laquelle il est venu me trouver. Je n’ai donc pas provoqué cette démarche, elle a eu lieu le plus naturellement du monde. Il a émis l’idée de la coiffer d’une autre carrosserie. Sur cet élan, on a alors envisagé la création d’une voiture qui ne serait pas du tout une Vertigo, mais bien une automobile nouvelle, badgée VDS. Le projet est né ainsi… », explique Tony Gillet.
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La priorité de Raphaël van der Straten était de développer une voiture de course, dont serait dérivée une version routière. Cette VDS GT 001 (-R) n’est pas une Gillet Vertigo modifiée, mais bien une voiture totalement inédite. Le châssis a d’ailleurs dû être rallongé de 15 centimètres en fonction d’un style néo-rétro d’inspiration américaine. Comme on peut l’imaginer, le carbone est omniprésent dans la conception de cette VDS GT 001.
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Cette auto, qui sera produite en très petite série (25 par an), est mue par un V8 4,2 litres Maserati développant 480 ch pour un poids de 1 000 kg. La version de compétition sera alignée en course dès les prochaines 24 Heures de Dubaï, au de janvier prochain. Mais le rêve ultime de VDS consisterait à l’engager aux 24 Heures du Mans.
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