Amour et fatalité ont parfois partie liée.
Alors c’est comme fatalement que je devais, dans cette rubrique dédiée à l’amour et à l’automobile, à l’amour des pédales électroniques et mécaniques, bien finir par croiser le chemin de la Ford Capri.
Eh oui, il y a quelques heures je suis tombé raide dingue devant la Capri, infirmant une fois n’est pas coutume, la chanson : « Capri, c’est pas fini ».
Je m’en vais vous expliquer comment cette histoire d’amour là est arrivée… Comme souvent, la Capri c’est une vieille histoire. Né en même temps qu’elle ou presque, je n’ai jamais pu faire semblant de l’ignorer. Ses lignes indémodables, ses redoutables « déclinaisons de Groupe » en compétition m’ont fait bien des fois glisser mon regard sur son profil étiré.
Comme souvent aussi il fallait bien des éléments déclencheurs voire des entremetteurs pour me faire tomber amoureux de la Ford Capri. L’ami Patrick n’y est pas pour rien. Je lui dois même une fière chandelle, une reconnaissance éternelle, un sacré coup de chance sans lequel peut-être jamais n’aurais-je connu l’amour avec la Ford Capri. Car, oui, tout s’est déclenché à grâce à ça. Décidément redoutables ces Anglais…
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