1/ Le futur Espace sera révélé au Mondial de l’Automobile d’octobre 2014
Il sera produit sur la nouvelle plate-forme « CMF » (Common Module Family) partagée par Renault et Nissan et assemblé dans l’usine de Douai, aux côtés des futurs Scénic (attendu un an plus tard) et Laguna IV. Le futur Espace sera un véhicule mondial : les codes « SUV » sont là pour faire oublier qu’il s’agit d’un monospace, notamment en Chine, où l’on raffole des crossovers.
2/ Le futur Espace est un projet « 3 en un »
Avant que les conséquences de la crise financière ne mènent à son annulation pure et simple, le programme de remplacement de l’Espace comportait trois voitures. Un vrai grand monospace fonctionnel à 7 places fonctionnel, un remplaçant de l’Avantime, et un gros crossover. Avec ce nouveau programme de monospace au concept hybride, sportif et surélevé, Renault a décidé de jouer… d’une pierre trois coups.
3/ Son désign définitif est très proche du concept car
Le futur Espace de série affichera le même type « d’écart » que celui entre le concept Twin’Z et la Twingo III de production. On retrouvera donc sur le futur Espace le même dessin des vitres de custode. Calandre et optiques seront de même très proches, dans l’esprit.
4/ Sa planche de bord adoptera des codes classiques
Exit l’ambiance « dune », la planche de bord aérienne qui a fait le succès des Espace III et IV : difficile d’injecter des gènes de SUV en faisant l’impasse sur une planche de bord « de pilote », d’architecture plus traditionnelle. Il y aura donc une instrumentation face au conducteur et une vraie console centrale. Celle-ci servira d’écrin à une évolution lourdement repensée du système multimédia R-Link, avec un écran de la dimension d’un iPad et probablement une connexion 3G.
5/ Modularité : la fin des sièges amovibles !
Adieu, époque bénie des voitures à vivre : le futur Espace dirait adieu aux sièges indépendants, lourds et fastidieux à manipuler, selon nos informations. Il adoptera un système de sièges rétractables dans le plancher, comme chez la concurrence. Sur les modèles haut de gamme, lesdites places arrière se fondront dans le plancher électriquement, sur simple pression d’une touche.
6/ Son nom n’est pas complètement fixé
Renault hésiterait encore entre deux options : conserver l’appellation Espace, très liée au marché français, ou baptiser son nouveau bébé « X-Space » (déposé en 2012), ce qui nécessiterait de forts investissements de communication. Avec le concept-car, Renault a botté en touche : n’ayant pas pris de décision sur le patronyme, la marque a souhaité éviter tout message erroné en communiquant sur le côté luxueux, avec « Initiale ».
7/ Pas d’hybride, mais des moteurs thermiques à la pointe
L’offre de moteurs du futur Espace reposera principalement sur des moteurs diesel, mais Renault se tient prêt à soutenir l’essence : si le moteur le plus vendu sera le dernier 1.6 dCi (vraisemblablement en 130 ch), aux côtés du 2 l dCi refondu, Renault étrennera une nouvelle génération de moteurs essence de la famille « H », d’une cylindrée de 1,6 l, dotée des toutes dernières technologies (stop&start évolué…).
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