En prenant place à bord de ces Rover, le conducteur sera immanquablement étonné par le manque de profondeur de la planche de bord. Une caractéristique qui trahit la conception ancienne de ces deux modèles, dont la naissance remonte à 1996, et qui tranche radicalement avec les productions modernes… Le comportement ne prête guère le flanc à la critique tant que l'on adopte une conduite coulée, mais les commandes manquent globalement d'agrément, à l'instar de celle de la boîte de vitesses qui s'avère assez rugueuse. En intensifiant le rythme, le train avant avoue rapidement ses limites, ce qui se manifeste par des pertes de motricité qui incitent d'autant plus à "rendre la main".
Quant aux passagers, ils n'apprécieront assurément pas la fermeté de l'amortissement, ceux de la "petite" 25 devant en outre composer avec un espace vital restreint et, en carrosserie 3 portes, une accessibilité limitée. S'y ajoute, au poste du confort général, une insonorisation perfectible qui se ressent encore plus en motorisation turbo-diesel, celle-ci étant en outre affublée de remontées vibratoires pénalisantes et d'une brutalité à l'entrée en action du turbo qui pénalise l'agrément de conduite tout autant qu'elle fait ressortir les limites de motricité du train avant !
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