Toyota : du gaz lacrymogène pour les voleurs ?
Toyota a déposé un brevet qui montre l'usage d'un gaz lacrymogène en cas de détection d'une tentative de vol de la part du système central de l'auto. Evidemment, rien ne dit que ce dispositif sera un jour produit, d'autant plus que son fonctionnement est très particulier.

Jusqu'où iront les constructeurs pour limiter les vols de véhicules ? Pour l'instant, ils ne font pas grand-chose pour limiter le vol par l'électronique, et notamment empêcher les voleurs de se jouer des systèmes d'accès et de démarrage sans clé. Mais Toyota a déposé un brevet aux Etats-Unis qui montre un système franchement radical.
Le principe est simple : l'auto repère un récepteur sur la personne qui accède à l'auto (en l'occurrence, un smartphone). En fonction du récepteur, elle adapte le parfum diffusé dans l'habitacle, selon les goûts de la personne.
Mais en cas de non-reconnaissance du récepteur, ce n'est pas du parfum qui est diffusé, mais du gaz lacrymogène. La voiture estime en effet qu'il s'agit d'un voleur si le véhicule ne reconnaît pas la personne qui pénètre dans l'habitacle. Et en plus du gaz lacrymogène, l'auto est bien évidemment immobilisée.
On se dit quand même que le voleur peut ouvrir l'auto, laissant le gaz se répandre en ouvrant les vitres ou les portes, puis attendre et s'emparer du véhicule. Et que se passerait-il si l'on ouvre l'auto sans son "récepteur" ? Serions-nous reconnus comme un voleur ? Autant de questions qui n'auront peut-être jamais de réponse, mais il y a là un début de piste pour prévenir les vols, autrement que par l'antidémarrage...
Déposer un commentaire
Alerte de modération
Les données que vous renseignez dans ce formulaire sont traitées par GROUPE LA CENTRALE en qualité de responsable de traitement.
Les données obligatoires sont celles signalées par un astérisque dans ce formulaire.
Ces données sont utilisées à des fins de :
Vous disposez d’un droit d’accès, de rectification, d’effacement de ces données, d’un droit de limitation du traitement, d’un droit d’opposition, du droit à la portabilité de vos données et du droit d’introduite une réclamation auprès d’une autorité de contrôle (en France, la CNIL).
Pour en savoir plus sur le traitement de vos données : Politique de confidentialité
Alerte de modération