A ma droite une équipe KR qui s'accroche à vouloir poursuivre en Moto GP avec ses propres châssis, mais qui ne peut plus tolérer d'être traitée comme la portion congrue de la flotte Honda qui lui fournit les bouilleurs. A ma gauche un motoriste, Ilmor, qui aurait bien voulu montrer son savoir faire en Moto GP mais qui a dû battre en retraite par manque de moyens.
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Le jeune Marseillais de dix sept ans Cyril Carrillo, issu de la filière Red Bull Moto GP Rookies Cup, se voit offrir l'opportunité de courir en mondial 125 au sein du team de la FFM, dans le cadre du prochain Grand Prix de Malaisie. Et ce, en lieu et place de Louis Rossi.
Ils seront cinq, le 12 Novembre prochain, à donner un avis capital qui aura des incidences sur beaucoup d'intérêts et qui influera sur l'Histoire du Moto GP. Pas moins.
Le Bibendum s'apprête à faire contre mauvaise fortune, bon coeur. Soit perdre effectivement Valentino Rossi trop déçu par une saison encore une fois ratée pour le titre et dont les pneus ont été remisés au rang de victime expiatoire.
Alors que sa saison touche à sa fin, la catégorie quart de litre connaît les derniers potins quant à la constitution de sa grille de départ pour l'année prochaine. C'est ainsi qu'après les préférés d'Aprilia déjà cités ICI, d'autres noms se rajoutent à la longue liste des clients de Noale.
Si Colin Edwards doit son guidon chez Tech'3 en lieu et place de Guintoli et aux côtés de Toseland c'est, dit-on, parce qu'il a été imposé par Michelin qui voulait à tout prix garder un pilote d'expérience dans ses rangs. Et non pas seulement parce que la « Tornade Texane » a une connexion particulière avec un Valentino Rossi qui désirait le garder pas loin de lui.
Si le championnat Moto GP est plié et celui du quart de litre pas loin d'être consommé, rien n'est fait en revanche pour la 125. A deux épreuves de la fin de la saison, Talmacsi et Faubel ne sont séparés que d'un seul petit point. Deux équipiers sur deux Aprilia. Deux pilotes dans la structure espagnole d'Aspar Martinez.
Et une de plus pour un Stoner décidément insatiable. A un point tel qu'il affirme que cette victoire à domicile efface la frustration d'une sixième place conquise au Japon et qui, pourtant, lui a apporté le titre suprême : « La dernière course a été décevante mais comme elle a amené le titre, on a oublié que c'était notre plus mauvais résultat de l'année.
“Je suis vraiment heureux”. Loris Capirossi revit depuis qu'il a retrouvé le mode d'emploi d'une Desmosedici. Une victoire au Japon et maintenant cette seconde place en Australie derrière celui qui est devenu le chef de fil chez les rouges.
Si la troisième place n'est sans doute pas ce qu'il espérait de mieux dans ce Grand Prix d'Australie, elle poursuit néanmoins cette incroyable série qui veut que le natif de Tavullia soit à chaque fois monté sur le podium depuis que le Moto GP existe.