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Un an de vacances pour revenir calmé et plein de bonne résolutions ? C'est ce que nous promet Need for Speed. Pas d'épisode en 2014, c'était d'autant plus inattendu que c'était l'année des vingt ans de la série. C'est dire si ça se passait mal depuis un « The Run » en 2011 franchement loupé et des « Most Wanted » (2012) et « Rivals » (2013) qui étaient agréables mais qui ne cassaient pas trois pattes à une Triumph. Du coup on reprend le nom originel, on fait un reboot à l'ancienne, on appelle tous les potes à la rescousse et on sort la grosse artillerie.

Un jeu indépendant, développé par une seule personne, sans décideurs qui le forcent à amputer ou simplifier la maniabilité, sans marketing qui déforme l'idée initiale pour obtenir un calibrage discutable, bref un jeu pensé d'un bout à l'autre par un joueur qui cherchait à faire un bon jeu de drift qui se concentre sur l'essentiel. Pour le faire bien. Oh oui.

Comme toujours chez Thrustmaster, on essaie de répondre à tous les besoins et à toutes les bourses. Deuxième volant le moins cher de la gamme, le T150 permets de se mettre aux simulations sans recevoir un coup de fil de son banquier dans la foulée.

WRC5 suit la mode des films Hollywoodiens et reboote en partant d'une feuille des temps vierge. Vital et bénéfique ce changement permet à Bigben de changer de studio de développement et ce sont les français de Kylotonn, que je suis allé rencontrer dans leur bureaux parisiens, qui se sont retroussés les manches pour un résultat qui vaut le détour. Bien vu !

Forza il en existe de deux goûts. Une version 100% fun, Forza Horizon, qui sort chaque fin d'année paire. Et le grand frère plus sérieux orienté simulation, Forza Motorsport, celui qui nous intéresse aujourd'hui dans sa sixième édition. Et bon va faire ça vite et bien, car le jeu n'appelle que très peu à la critique et vous connaissez déjà les dizaines de petits plaisirs que contiennent ce genre de jeux. Parlons plutôt du plaisir de ces retrouvailles, de ce qui nous scotche et de ce que la licence a de neuf à nous offrir.

Project Cars est un jeu attendu, très attendu. Attendu comme jamais même. Tous les amateurs de jeux de course m'en parlent, m'interrogent, des étoiles dans les yeux et l'attente solide. Il ne doit pas décevoir. Cela fera une décennie que je teste les jeux de course pour Caradisiac d'ici décembre et il n'y a guère que les Forza et Gran Turismo qui provoquent la même attente et encore dans le cas de ces deux ténors de la catégorie, tout le monde sait qu'ils arrivent, qu'ils seront à minima très bon et on sait à quoi s'attendre pour 90% du contenu.

Forza Horizon 2, malgré son côté arcade, reste le jeu de voiture 2014 que je relance le plus régulièrement pour prolonger le plaisir des virées sauvages sur une carte complètement ouverte. Et pour notre plus gros plaisir ce terrain de jeu se voit augmenté d'une île au tempérament volcanique. Le voici, le voilà, le DLC (contenu téléchargeable) Storm Island pour Forza Horizon 2 sur Xbox One.

Les joueurs PC peuvent sourire. Côté PlayStation 4 on attend toujours un jeu de voiture capable de rallier les amateurs. Côté Xbox One on a déjà Forza Motorsport 5 le caïd du moment sorti en 2013 et Forza Horizon 2 l'excellente surprise de l'année 2014. Mais jusqu'à présent sur Xbox One nous n'avions qu'un seul volant qui ne soit pas un jouet, j'ai nommé le Thrustmaster TX F458.

Définitivement la référence actuelle pour jouer sérieusement sur PS4, PS3 et PC. Voilà, le test est fait, tout le monde peut rentrer chez lui et jouer. Il vous en faut vraiment plus ? Allez, c'est parti.

DriveClub est arrivé sur PlayStation 4 et c'est le premier jeu de voiture avec un minimum d'ambition alors que l'on attend toujours Project Cars (prévu début 2015), Gran Turismo 7 (prévu entre 2015 et 2515) et que The Crew d'Ubisoft n'est plus très attendu maintenant qu'il a déçu trop de monde lors des salons et versions démo.