L'INFO DU JOUR - Pour l'ACEA, le lobby des constructeurs européens, la mise en place des normes CAFE au 1er janvier se traduiront par des amendes évaluées à 15 milliards d'euros. Faux, leur rétorquent un think tank et une ONG.
L'INFO DU JOUR - L'élection américaine, dont l'issue devrait être connue plus ou moins rapidement, oppose deux visions de l'automobile US. Mais si Kamala Harris va certainement prolonger l'action de son prédécesseur en faveur de la voiture électrique, Donald Trump est plutôt fluctuant sur le sujet. En revanche, il souhaite taxer les autos importées, y compris lorsque elles sont de provenance européenne.
Paris veut demander à la Commission européenne de ne pas appliquer les sanctions financières contre les constructeurs qui ne tiendraient pas leurs objectifs de baisse des émissions de CO2 en 2025.
Venu fêter le premier anniversaire d'Ampère, l'entité électrique du groupe Renault, son directeur général a dévoilé la stratégie qu'il est en train de mettre en place pour développer les ventes de VE à coups de réduction de tout, de coûts, bien sûr, mais aussi de temps de développement et de fabrication. Nous l'avons suivi dans l'atelier de montage de l'usine de Douai.
Le patron du groupe Renault vient de publier son Dictionnaire amoureux de l'automobile. Un ouvrage où, de A comme Abarth à Z comme Zagato, il évoque les mythes, les grandes marques et les personnalités de l'univers auto. Une somme à laquelle d'autres contributeurs ont participé.
L'INFO DU JOUR - Pour faire entendre leur voix, les constructeurs avancent en ordre dispersé. L'ACEA, l'association censée les représenter, ne parle plus d'une seule voix depuis plusieurs années. Une situation qui ne risque pas de plaider en faveur de la filière.
Les anciens modèles sortent du musée et pullulent sous forme de concept cars ou de modèles de série. Mais pourquoi les constructeurs regardent-ils en arrière au lieu d'aller de l'avant, au risque de rater la marche du futur ?
L'INFO DU JOUR. D'un côté le lobby des constructeurs européens, et de l'autre le DG du groupe Stellantis: les premiers veulent un report des normes de CO2 prévues pour 2025, quand le second refuse au motif que si lui est prêt, les autres le seraient aussi s'ils avaient mieux travaillé.
Les premières esquisses du budget 2025 pourraient bien raboter un peu plus encore les aides à la voiture électrique, que ce soit au niveau de celles destinées aux plus modestes comme du bonus réservé à l’achat d'une voiture électrique.
La demande de voitures électriques patine, et les constructeurs doivent ré-adapater leur outil de production en conséquence. Cela se traduit aussi par un intérêt croissant pour le thermique hybridé un peu partout dans le monde.