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Toute l'actu Japon

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Mitsubishi avoue des falsifications de données sur des produits

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C’est une nouvelle information qui ébranle un peu plus l’industrie japonaise. Réputée jusque-là pour la qualité de ses produits, elle voit son auréole brûler à cause d'une série de scandales sur le contrôle de cette qualité tant vantée, impliquant des fabricants de l’empire du soleil levant. Une succession de défaillances de contrôle et de gouvernance constatée dans plusieurs grandes sociétés telles que Kobe Steel, Nissan et Subaru. C’est maintenant au tour de Mitsubishi Materials d’avouer ses errements.

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Nissan relance sa production au Japon

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C’est un nouveau départ pour Nissan sur un marché domestique qui ne lui a pas fait de cadeau cette année. En octobre, les ventes de ses véhicules au Japon se sont effondrées de 43,3 % sur un an, à 19 438 unités, tous gabarits confondus. Il faut dire que sa réputation a été sérieusement écornée par cette affaire de mauvaises pratiques de certification pour les voitures destinées à son marché intérieur. Un écueil pointé du doigt par les inspecteurs du ministère des Transports japonais et qui avait conduit à la décision historique d’arrêter toutes les chaînes de production sur le son de l’empire du soleil levant. Depuis aujourd’hui, elles vont reprendre du service.

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Mauvaises pratiques de certification : Subaru touché comme Nissan

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C’est une opaque affaire de certification pour le marché intérieur japonais qui met actuellement à mal une industrie automobile nippone qui aurait aimé oublier un moment ses errements sous l’auvent de son Salon de Tokyo. Le « made in Japan » n’est plus ce qu’il était ni même la discipline d’entreprise à l’aune des errements d’un secteur qui a fait la réputation contemporaine de l’empire du soleil levant. Au fracas de l’effondrement de l’empire Takata aux airbags meurtriers succèdent les craquements du reste de l’édifice. L’enseigne Kobe Steel tangue et Nissan colmate ses brèches mais voilà que Subaru vacille à son tour.

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Nissan suspend la production des véhicules destinés au marché nippon

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Que se passe-t-il donc au Japon ? Entre une enseigne Takata qui s’est effondrée sur elle-même après que ses errements aient lézardé un édifice qui semblait indestructible, après une affaire Kobe Steel en pleine révélation sur des qualités de produits falsifiées posant question sur la sécurité, voici le cas Nissan. Qui, apparemment, n’arrive pas à se faire entendre chez lui. Après l’idée ébranlée d’une belle qualité « made in Japan », voici la surprise de constater une discipline japonaise pourtant légendaire mise à mal. Pour le constructeur automobile, la facture ne va pas être anodine puisqu’il annonce suspendre la production de ses véhicules destinés au marché nippon dans toutes ses usines au Japon.

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Trois constructeurs japonais rassurent sur l'aluminium Kobe Steel

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L’affaire Kobe Steel suite. On sait depuis la semaine dernière que des cadres et employés de quatre sites de production du groupe japonais Kobe Steel auraient trafiqué les données sur les caractéristiques, notamment les capacités de résistance et de flexibilité, de certains produits pour donner l’impression qu’ils répondaient aux spécifications des clients. De quoi être inquiet sur la qualité des pièces écoulées et d’autant plus que ces dernières se retrouvent en des endroits stratégiques pour la sécurité des engins qui en sont équipés. Pire, l’enseigne se dit incapable de préciser l'impact éventuel en termes de sûreté, se bornant à dire qu'aucun incident n'a été rapporté à ce jour et qu'il travaille sur ce point avec ses clients. Heureusement, ces derniers régissent et communiquent.

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Affaire Kobe Steel : Renault et PSA seraient touchés

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L’affaire Kobe Steel commence à prendre tous les atours d’un scandale majeur, avec des conséquences sur la qualité des produits concernés qui, si elles restent à évaluer, promettent d’être plus que préoccupante. Pour le moment, le groupe japonais se dit incapable de préciser l'impact éventuel en termes de sécurité, se bornant à dire qu'aucun incident n'a été rapporté à ce jour et qu'il travaille sur ce point avec ses clients. Et la liste de ceux-ci s’allonge comme les produits touchés…

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Scandale : il y aurait pire que Takata avec Kobe Steel

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C’est un nouveau scandale qui pointe à l’horizon dans un monde automobile à la réputation déjà bien écornée. Après le logiciel truqueur rendant les moteurs plus vertueux qu’ils ne sont au regard des normes antipollution, après les airbags meurtriers Takata qui succédaient à une affaire de commutateur d’allumage touchant les constructeurs américains, voici l’affaire Kobe Steel. Une histoire qui met à nouveau l’industrie japonaise en porte à faux. Et pas qu’un peu : les entreprises japonaises ont été livrées en produits dont les caractéristiques techniques avaient été falsifiées par le sidérurgiste nippon.

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Électrique : Toshiba promet une recharge en six minutes dès 2019

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Une batterie, ça n’a rien de très sexy. Et pourtant, c’est bien d’elle dont on va de plus en plus parler. C’est aussi elle qui va séduire, attirer toutes les attentions et en faire craquer plus d’un. Car c’est elle qui va permettre aux véhicules électriques de se mouvoir. Sans elles, point de révolution poussant la mécanique thermique à la casse. Un revirement que Toshiba a compris. En présentant sa nouvelle batterie, l’enseigne japonaise se veut incontournable.

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Nissan: rappel de 1,21 million de véhicules au Japon

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On ne sait pas encore très bien de quoi il s’agit, mais c’est du sérieux. Une situation d’autant plus préoccupante qu’elle inquiète au plus haut point jusqu’au président de Nissan, Hiroto Saikawa, qui a carrément reconnu un « problème très grave ». En cause, des inspections de véhicules qui n’ont pas été menées selon les règles exigées sur le marché nippon. Un fait mis à jour par les autorités qui conduisent aussi des vérifications similaires chez les autres constructeurs d'automobiles. Environ 1,21 million de véhicules produits vont être rappelés et l’opération va coûter près de 189 millions d'euros à Nissan.

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Toyota, Mazda et Denso se branchent pour l'électrique

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L’avenir de l’automobile sera électrique ou ne sera pas. Une marche forcée que Carlos Tavares, le patron du groupe PSA, peut notamment regretter. Mais le sort en est jeté et le dernier Salon de Francfort a confirmé une tendance que les annonces politiques exacerbent. Le gouvernement britannique veut mettre fin à la vente de voitures diesel ou essence à partir de 2040, et la France a présenté un plan similaire. La Chine réfléchit de son côté à un calendrier contraignant. Bref, il faut s’insérer dans ce courant de l’électrique, et vite, car personne n’est vraiment prêt. Au Japon, les grandes manœuvres ont commencé.

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