
C’est peut-être l’occasion d’une belle tête de pont vers le stratégique marché d’Asie du Sud Est qui est en train n’échapper à nos deux groupes automobiles français. Tant le lion que le losange ambitionnent de faire fusionner à leurs marques le malaisien Proton en pleine déconfiture. Renault pensait avoir fait le plus dur en avançant masqué sous une bannière Mitsubishi qui est maintenant sienne. Mais c‘était sans compter sur le chinois Geely, déjà taulier de Volvo.