
Quand le patron de Tesla se met au service d’un président des États-Unis d’Amérique climatosceptique et hostile à la voiture électrique, faut-il encore croire à l’avenir de la watture ?
Quand le patron de Tesla se met au service d’un président des États-Unis d’Amérique climatosceptique et hostile à la voiture électrique, faut-il encore croire à l’avenir de la watture ?
L’INFO DU JOUR – Alors qu’Elon Musk présentait la nouvelle évolution de son logiciel « Full Self Driving » comme révolutionnaire et le désignait à demi-mot comme un système de conduite entièrement autonome au mépris de la loi américaine, un accident embarrassant vient contredire son discours. A un an de la commercialisation de sa première voiture entièrement autonome, ça fait un peu tâche.
Exaspérées par les prises de position politiques du milliardaire nombre d’entreprises, et une partie de l’opinion publique, ne veulent plus rouler en Tesla.
Disponible à la commande depuis ce vendredi matin, la nouvelle Tesla Model Y sera livrée à ses premiers clients dans moins de deux mois. L'attrait de la nouveauté justifie-t-il une augmentation de tarif salée? Premiers éléments de réponse.
L’actualité culturelle autour de l’automobile nous offre parfois des détours singuliers par le monde de la politique.
Les actes de vandalisme sur les voitures de la marque Tesla attaquées au hasard semblent se multiplier en raison de la haine de certains pour son patron Elon Musk. Y compris en France.
Moins de deux mois après son départ, la politique de gouvernance de Stellantis a tellement changé que l'on en vient à oublier celui qui, pendant des années, était au centre des débats automobilico-économiques.
L'INFO DU JOUR - Coup sur coup, Joe Biden vient de signer deux décrets interdisant l'exportation de puces électroniques GPU vers 120 pays, et fermant la porte des États-Unis aux voitures connectées utilisant des composants chinois ou russes.
L'INFO DU JOUR - Les constructeurs rognent sur leurs marges pour vendre leurs voitures électriques en Angleterre et des amendes sont à prévoir en cas de non-respect des normes de l'Union européenne. Mais à Londres comme à Bruxelles, la filière semble entendue et les gouvernants devraient faire preuve de souplesse.
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Stellantis, mais aussi Ford et Toyota vont payer Tesla pour bénéficier des crédits CO2 de la marque américaine. Une façon pour eux de réduire leurs émissions et d'éviter les sanctions européennes.
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