Alors qu’en Europe les clients du groupe Volkswagen se retrouvent avec un véhicule au moteur truqué, sans vraiment avoir le choix que de le conserver après une mise aux normes, de l’autre côté de l’Atlantique, le même a droit à des indemnités. L’Amérique fait ainsi payer le prix fort au groupe automobile allemand ses errements. Aux États-Unis, il a déjà provisionné 15 milliards de dollars pour indemniser les propriétaires de 480 000 voitures équipées du moteur 2 litres diesel vicié. Mais voilà que les mécaniques 3 litres sont aussi mises en cause tandis que le Canada présente sa facture.