Le confinement touche bientôt (on l'espère) à sa fin. Et la reprise des ventes automobiles ne devrait pas tarder. Dans ce contexte particulier, l'Avere France souhaite que le Gouvernement encourage encore plus la mobilité électrique, et lui adresse une quarantaine de recommandations. En voici les principales.
Le ministre de l'Économie Bruno Le Maire a confirmé qu'un plan de relance du marché automobile est à l'étude. Mais les mesures ne seront pas en vigueur avant septembre.
Pour relancer les ventes de voitures en France, le gouvernement songe à de nouvelles aides à l'achat. Mais celles-ci seraient limitées aux modèles électriques et hybrides rechargeables.
Pionnière de la technologie hybride, la Toyota Prius symbolise l’une des plus formidables réussites industrielles des vingt dernières années. Mais une réussite qui voit ses ventes s'éroder dangereusement, au point que l'on peut sérieusement s'interroger sur ses perspectives d'avenir. Décryptage.
Le décret fixant les conditions d'attribution du bonus écologique en 2020 vient d'être publié. L'aide maximale est toujours de 6 000 €, mais elle est réduite voire supprimée pour les véhicules les plus chers.
Il y aura toujours une aide maximale de 6 000 € en 2020. Mais le gouvernement prévoit ensuite de baisser le bonus à 5 000 € en 2021 puis 4 000 € en 2022.
En début d'année, les primes d'achat pour une voiture électrique en Chine ont été progressivement supprimées. Et les effets ont été immédiats : en septembre dernier, le repli des ventes de ces autos a été de 34 %. Preuve, s'il en fallait, que sans incitation publique, le marché connaîtrait probablement une autre dynamique.
Gros coup de rabot en prévision pour le bonus écologique en 2020 : l'aide serait stoppée pour les modèles les plus chers, et divisée par deux pour les milieux de gamme.
Les récentes données de Jato Dynamics sur le marché américain tendent à montrer quelque chose de récurrent : une partie de la croissance des ventes d'électriques est artificielle et seulement fondée sur les bonus écolo. C'est particulièrement marqué aux USA, et cela pourrait se produire aussi en Europe.
Le système de bonus/malus, on le comprend bien pour l'achat d'un véhicule neuf. Mais pour les occasions, c'est plus compliqué. Le bonus devient "prime à la conversion", le malus est censé ne plus exister, mais en fait on applique une "surtaxe CO2", qui porte mal son nom. Confus ? Caradisiac vous explique tout.