
On pourrait le croire en comparant les investissements réalisés là-bas aux annonces de chômage technique d’ici. Mais le groupe a fait ses comptes et l’Amérique est beaucoup plus rentable que la vieille Europe.
On pourrait le croire en comparant les investissements réalisés là-bas aux annonces de chômage technique d’ici. Mais le groupe a fait ses comptes et l’Amérique est beaucoup plus rentable que la vieille Europe.
Alors que les constructeurs européens ont rendez-vous à Bruxelles le 12 septembre prochain pour évoquer leur avenir, ils multiplient les déclarations pour réclamer un report, et évoquer les difficultés, de l'échéance qui les force à stopper les ventes de voitures thermiques dans quinze ans.
L'INFO DU JOUR - La crise sévit dans l'industrie automobile et c'est un euphémisme. Le cinquième constructeur mondial vient de publier ses chiffres de ces six derniers mois et ils sont catastrophiques en Europe, mais surtout aux États-Unis. La faute à Bruxelles, à Donald Trump, mais aussi à des produits qui connaissent des ratés ou sont encore en phase de lancement.
Le jour même de sa nomination, Antonio Filosa dévoile son état-major. Au menu : des anciens de la maison, la France en force, les Américains et les Italiens à parts égales.
Outre l'Ukraine, la rencontre programmée ce 3 juin entre Giorgia Meloni et Emmanuel Macron devrait également permettre de régler un autre litige : celui qui oppose la botte et l'hexagone au sujet de Stellantis, qui vient de prendre une orientation plus italienne, et de STMicroelectonics, accusée d'être trop française.
SPONSORISE