Superbike - Perdercini: Iannuzo soigne son relationnel
Etre pilote professionnel permet de connaître d'intenses moments d'exaltations. Le lot de ceux qui ont le talent et l'opportunité de vivre de leur passion. Ceci dit, ces instants là ont généralement lieu sur la piste, tandis que les autres obligations de ce statut néanmoins privilégié peuvent paraître, à côté, particulièrement fastidieuses. Ainsi est-ce le cas, lorsqu'il faut satisfaire aux exigences des relations publiques au profit de l'investisseur titre de l'écurie ou du partenaire personnel.
Ceci dit, tout dépend dudit partenaire. Ainsi, lorsqu'il s'appelle « Ducci Entreprise » et qu'il a pour raison sociale de s'occuper de la communication et de mannequins, forcément, la corvée a des chances d'être moins insupportable.
Il n'y a qu'à, d'ailleurs, pour en juger, regarder les scènes insoutenables de torture auxquelles Vittorio Iannuzo a dû se soumettre pour satisfaire le mécène. Poser ainsi pour un calendrier, par ailleurs pas si mal illustré, quel calvaire. C'est pas un métier facile hein ?
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