Superbike - Biaggi: "Sans Aprilia, c'était la retraite"

Max Biaggi et Aprilia ont donc décidé de mettre un terme à une séparation de quelques douze saisons, pour vivre une aventure Superbike après avoir connu les titres en Grand Prix. Pour l'un, il s'agît du dernier pari sportif avant la retraite tandis que pour la marque de Noale, il s'agît de tout commencer pour faire en sorte que son palmarès ne soit plus seulement écrit que par ses seules machines deux temps.
Mais au fait, ses retrouvailles ont elles été désirées ou sont elles le fatal fruit des circonstances ? Sans Aprilia, Qu'aurait donc fait le Romain ? A la Gazzetta dello Sport, il apporte la réponse: « Sans doute la retraite » reconnaît-il. Quant à Ducati c'est 700 000 euros qui lui aurait été mis sur la table, alors qu'Aprilia a plus que doublé la mise: « Mais ça n'est pas seulement pour ça » rectifie Max. « BMW m'a contacté, Francis Batta aussi. Aprilia a les moyens de gagner. Cette opportunité est fascinante. Le groupe Piaggio est commercialement le plus grand d'Europe. Ils sont ambitieux et ils ont un savoir faire. »

Par ailleurs, Biaggi assume et explique son statut de tête d'affiche pour la catégorie: « Je veux toujours courir et vaincre et j'ai de nombreux supporters. Qui d'autre que moi peut amener 7 000 personnes pour de simples essais, comme je l'ai fait à Vallelunga l'an passé ? » Un argument qui fait toujours mouche auprès des frères Flammini, organisateurs du mondial, mais qui n'a pas fait frissonner Ducati.
Déposer un commentaire
Alerte de modération
Les données que vous renseignez dans ce formulaire sont traitées par GROUPE LA CENTRALE en qualité de responsable de traitement.
Les données obligatoires sont celles signalées par un astérisque dans ce formulaire.
Ces données sont utilisées à des fins de :
Vous disposez d’un droit d’accès, de rectification, d’effacement de ces données, d’un droit de limitation du traitement, d’un droit d’opposition, du droit à la portabilité de vos données et du droit d’introduite une réclamation auprès d’une autorité de contrôle (en France, la CNIL).
Pour en savoir plus sur le traitement de vos données : Politique de confidentialité
Alerte de modération