

Par ordre d'apparition dans la vidéo, commençons donc par Pierre Desjardins dont on ne s'étonnera pas que ce soit une électrique qui a trouvé grâce à ses yeux. L'élu de son cœur est la petite Citigo e IV qui reprend les éléments techniques de la Volkswagen e-up, à savoir une batterie de 32 kw, un moteur de 82 chevaux et une autonomie de 260 kilomètres. Mais surtout, cette citadine sera affichée à 16 000 euros, bonus déduit, ce qui rend enfin l'électrique accessible. À l’opposé, Pierre, contrairement à d'autres journalistes de la rédaction, a été déçu par la nouvelle Honda e. Pas sur le plan esthétique, son tableau de bord à multiples écrans est incroyable, mais en raison de son autonomie. Et il ne mâche pas ses mots : " Annoncer 200 kilomètres d'autonomie et un tarif démarrant à 35 000 euros pour une citadine en 2019, c'est avoir dix ans de retard".
Alexandre Bataille a, quant à lui, jeté son dévolu sur le nouveau Land Rover Defender. Pas facile pour Alexandre de faire évoluer un modèle qui a 70 ans. Résultat, le style est à la hauteur de son ancêtre, tout comme ses capacités de baroudeur et ses motorisations adaptées. Notre journaliste s'attriste, par ailleurs, de l'absence des constructeurs français. Pas de Peugeot, pas de DS, pas d'Alpine et Renault a été présent simplement pendant les journées réservées aux journalistes.
Au salon de Francfort 2019, Pierre-Olivier Marie a flashé sur la Porsche Taycan, la première Porsche 100 % électrique. Certes, Pierre-Olivier rappelle qu'elle est "horriblement chère" (de 150 à 180 000 euros), mais elle a le mérite d'attirer un peu plus encore l'attention sur les motorisations électriques. Et son flop, tout comme Alexandre Bataille, concerne les constructeurs français qui n'ont pas jugé utile de se déplacer au salon de Francfort. Seul à faire un petit effort, Renault qui expose son nouveau Captur, à l'extérieur des halls !
Enfin Manuel Cailliot partage avec Alexandre Bataille son coup de cœur pour le nouveau Land Rover Defender. Clin d'œil à l'ancien modèle, style résolument moderne, le constructeur britannique est parvenu à ressusciter le mythe. Et pour clore les coups de gueule de la rédaction, Manuel rappelle que les constructeurs allemands sont venus en force à Francfort en présentant un grand nombre de nouveautés importantes, tandis que les Français, DS, Peugeot et Renault, ne sont pas venus" alors qu'ils auraient pu présenter des modèles intéressants aux automobilistes et visiteurs allemands".
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