Renault Kwid : gros restylage pour la citadine low-cost
Avec ce lifting important et une présentation plus soignée, Renault espère relancer les ventes de la Kwid sur son marché d'origine, l'Inde.
En 2015, Renault a fait sensation avec la présentation en Inde de la Kwid, nouveau tour de force dans le low-cost. Pour schématiser, la citadine a un positionnement entre la trop dépouillée Tata Nano, qui a d'ailleurs été un échec, et la Logan.
La voiture a connu un très bon début de carrière. Plus de 100 000 exemplaires ont été écoulés en Inde en 2017. Mais les ventes ont rapidement plongé. Il semble difficile de résister à la puissance de Maruti-Suzuki dans le pays ! La Kwid avait donc besoin d'un second souffle, d'autant que Suzuki vient de présenter une dangereuse concurrente, la S-Presso.
La Kwid profite d'un tout nouveau visage, que l'on avait déjà vu toutefois sur l'électrique K-ZE lancée en Chine. L'auto adopte un code esthétique très en vogue et inédit chez Renault : des optiques sur deux étages. Il y a un élément fin dans le prolongement de la calandre puis l'élément principal dans le bouclier.
La Kwid monte en gamme en soignant ses signatures lumineuses. On retrouve d'ailleurs à l'arrière les LED en forme de C, comme sur les modèles Renault "classiques". La Kwid est ici présentée avec une version baroudeuse Climber, dotées de protections de carrosserie supplémentaire et de détails peints en orange.
Les versions hautes auront un écran tactile plus grand (8 pouces) et un volant plus sportif d'apparence. En Inde, la voiture est proposée avec deux moteurs trois cylindres, de 54 et 68 ch. La question que beaucoup se posent à nouveau est "à quand une arrivée chez nous ?". Ce n'est toujours à l'ordre du jour !
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