MotoGP - Argentine J.2 : grosse chaleur pour Redding

C'est l'homme par qui le scandale est arrivé et il s'en serait bien passé. Car c'est à son corps défendant qu'il s'est retrouvé sous les feux des projecteurs, avec un corps aussi touché au dos par l'éclatement de son pneu arrière. Cela aurait ou plus mal finir pour le Britannique qui s'élancera 14ème de ce Grand Prix d'Argentine à rebondissements. Avec de nouveaux pneus.
Car Michelin a décidé de retirer toutes ces gommes pour en proposer de nouvelles plus rigides mais encore inconnues des pilotes. Il ne manquerait plus que la pluie pour brouiller encore un peu plus les cartes !
Scott Redding : “ça n'a pas été une bonne journée moi. La FP3 ne s'était pas bien passée et le problème est survenu quand je commençais à progresser en FP4. J'ai vraiment eu peur. J'ai senti du chattering à l'arrière puis j'ai pris un coup. Je voyais des bouts de ma moto voler partout. J'ai pensé que le pneu avait explosé et je me suis préparé pour une mauvaise chute mais quelques instants plus tard j'ai senti que le pneu se comportait bien et qu'il y avait encore de l'air dedans.
J'ai réussi à sortir de piste sans chuter et j'ai de la chance d'encore être ici pour en parler. J'étais déterminé pour la Q1 mais il est clair que ma confiance n'était pas à son maximum dans ce virage. Honnêtement, je me sens bien pour demain. J'avais eu beaucoup de mal ce matin et cet après-midi je me suis rapproché des temps de la Q2. La course va être longue. Tout peut arriver si j'arrive à être régulier.”
Déposer un commentaire
Alerte de modération
Les données que vous renseignez dans ce formulaire sont traitées par GROUPE LA CENTRALE en qualité de responsable de traitement.
Les données obligatoires sont celles signalées par un astérisque dans ce formulaire.
Ces données sont utilisées à des fins de :
Vous disposez d’un droit d’accès, de rectification, d’effacement de ces données, d’un droit de limitation du traitement, d’un droit d’opposition, du droit à la portabilité de vos données et du droit d’introduite une réclamation auprès d’une autorité de contrôle (en France, la CNIL).
Pour en savoir plus sur le traitement de vos données : Politique de confidentialité
Alerte de modération