Moto GP - Australie J.3: le puissant HRC était le seul à n'avoir rien compris
C'est un Grand Prix d'Australie à sensation qui s'est déroulé du côté de Phillip Island. Avec deux perdants: le Moto GP qui a été pris en otage par son manufacturier unique Bridgestone incompétent à fournir des pneus en mesure de tenir la distance d'une course sur le nouveau revêtement du circuit de Phillip Island. Puis Marc Marquez qui est passé au travers de l'obligation de rentrer par les stands entre le neuvième et le dixième tours d'une épreuve réduite à dix neuf des mêmes tours.
La règle a été comprise par tout le monde, sauf par le HRC. C'est du moins la version qui est servie officiellement alors qu'il faudra se pencher sur la sortie des stands de Marc Marquez qui a bien manqué flanquer Lorenzo par terre. Si tel avait été le cas, Marquez aurait été titré. Après la prise d'otage, la tentative d'attentat ? La Dorna va devoir se ressaisir et cesser de tergiverser. Pourquoi, au passage, avoir attendu trois tours avant de signifier un drapeau noir qui était inévitable ? Compétence et légitimité des dirigeeants des Grands Prix sont sur la sellette.
Marc Marquez: « Notre plan n'était pas bon, nous pensions que nous pouvions faire ce tour. Nous pensions que nous pouvions entrer dans la pit-lane à la fin du 11ème tour. Le problème ne venait pas de mon pit-board, qui était clair. Quand j'ai vu écrit Box, je suis rentré. Maintenant nous devons oublier cette course et nous concentrer sur le Motegi. »
« Jeudi, je disais que le Championnat était très long. Aujourd'hui il s'est passé quelque chose et il peut se passer autre chose au Motegi. Je sais que nous sommes sur la bonne voie, je me sens très bien sur la moto. Aujourd'hui j'aurais pu me battre pour le podium ou la victoire. »
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