
Avec son Bigster, Dacia s'attaque aux SUV compacts et cela va faire mal !
Pierre Desjardins , mis à jour
La Mini, c'est une institution et c'est plus que jamais compliqué en 2021 de faire évoluer une légende de l'automobile en satisfaisant parallèlement la clientèle et la réglementation sans pour autant trahir l'esprit initial du modèle. Mais la marque y parvient avec brio avec le second restylage de cette troisième génération. Devenue presque une caricature d'elle-même ces dernières années à cause de la surabondance d'artifices esthétiques à l'extérieur comme à l'intérieur, ce nouveau coup de pinceau a le bon goût d'épurer largement l'ensemble. C'est moins chargé, plus mature mais on continue quand même de reconnaître le modèle au premier coup d’œil.
A l'intérieur, c'est un peu moins marqué, la Mini ne fera toujours pas école en matière d'ergonomie mais l'ensemble est plus harmonieux et on trouve plus facilement les commandes. Pour ce qui est de l'habitabilité, la Mini mérite toujours son nom : on est à l'aise à l'avant, beaucoup moins à l'arrière en 3 portes, à peine mieux dans la 5 portes, et le coffre tient plus de la grosse boîte à gants, allant de 211 à 278 litres selon la version.
Question moteur, l'offre diesel a été remplacé par la Cooper SE électrique de 184 ch et l'offre essence va de 75 à 231 ch. Mais ce qui ravira les amateurs de conduite dynamique au dos délicat, c'est l'arrivée enfin de suspensions pilotées permettant d'avoir le beurre et l'argent du beurre. Et puisqu'on en est à parler finances, la Mini n'est toujours pas donnée, avec des tarifs démarrant à 20 900 €.
Cachée dans un coin du stand Mini, on pouvait trouver un autre modèle restylé et pas n'importe lequel : la Pacesetter, la safety car officielle de la Formule E, avec ses artifices délicieusement tapageurs.
Photos (8)
En savoir plus sur : Mini Mini 4 3p
SPONSORISE
Déposer un commentaire
Alerte de modération
Alerte de modération