
Sentiments mitigés au lendemain de la manche de Jerez dans le camp français. Et, paradoxalement, le taux de satisfaction était inversement proportionnel à la valeur de la place conquise au classement général. Ainsi, si chez Tech'3 on était heureux de ses quatorzième et quinzième position, chez Kawasaki, l'amertume pointait après la treizième place de Randy.