
La morale de la fable sied parfaitement à l'épilogue de ce Grand Prix de San Marin qui a été dominé de bout en bout par un Valentino Rossi à l'aise, qui a su observer ses adversaires pour mieux les contrôler. Sur le podium, il arborait encore les grandes oreilles de l'âne, mais il avait de magnifique manière effacer sa bévue américaine d' il y a une semaine.