On le sait déjà depuis quelques mois, le constructeur Italien MV Agusta prépare une petite sportive motorisée par un trois cylindres. Clairement, l'Italienne n'a qu'une envie : se partager la part d'un gros pudding qui est aujourd'hui monopolisé par Triumph et sa Daytona 675… Et pour ce faire, de l'autre coté des Alpes, MV Agusta ne rechigne pas à la tâche et continue fièrement la mise au point de sa future petite sportive.
En 1927, le comte Domenico Agusta se lance dans la production motocycliste. Quelques décennies plus tard, ce ne sont pas moins de 75 titres mondiaux qui sont remportés par cette marque mythique. MV Agusta, c'est également 34 victoires en 125cc, 26 en 250cc, 76 en 350cc et… 139 en 500cc, excusez du peu !
Présentée officiellement au dernier salon de Milan, la nouvelle mouture de la F4 se laissera dompter dans quelques jours sur le circuit varois du Luc. Annoncée plus légère, plus vive mais aussi moins brutale, la MV Agusta F4 garde toujours un look indémodable.
Revenons quelques minutes sur une news que nous avions mis en ligne en Juillet dernier… A cette occasion, Alex vous invitait à prendre le guidon pour rouler quelques jours dans la roue des plus grands champions du Monde de l'univers de la moto.
Les italiennes qui ont laissé leur trace au Grand Prix de France, au Castellet, de 1973 et 1975 avec des pilotes de renom comme Agostini, Read ou Bonera font leur grand retour sur le tracé varois en avril prochain. Les motos entre 1969 et 1985 côtoieront donc à la Sunday Ride Classic des machines célèbres qui se seront pas là pour la figuration.
Massimo Tamburini a une histoire hors du commun dans le monde de la moto. En effet, cet Italien de Rimini est à l'initiative de la création de Bimota, en 1966, avant d'intégrer Cagiva au milieu des années 80. De ce bureau d'études sortira quelques modèles cultes.
Du quadricycle à moteur de 1902 au scooter récent, vous n'aurez que l'embarras du choix pour satisfaire vos mirettes. Je ne peux pas toutes vous les présenter ici, mais elles auront leur place sur Caradisiac.
Lorsque je me suis lancé dans ce dossier, je me suis dit : Que nenni ! ! ! En fait, pour vous donner une idée, ça a été aussi facile que de trouver un crochet d'attelage chez « speedauto » ou chez « feu tricolore » pour une voiture homonyme (vous me direz : « faut être naze pour tracter une remorque avec une Ferrari » et vous aurez raison !
Pour sa neuvième édition, le Troféo Rosso, qui je vous le rappelle se déroulera les 17 et 18 juillet sur le circuit du Vigeant (86), a décidé de mettre à l'honneur les « tasses ». Cette manifestation ô combien sympathique est organisée par l'association « les journées italiennes » et est soutenue par plusieurs clubs de motos transalpines.
Je ne sais pas pour vous, mais moi, j'ai un peu de mal à m'y retrouver. Les motos anciennes ont de plus en plus de succès et la compétition n'échappe pas à cet engouement. Voici ci-dessous une petite présentation des différentes disciplines consacrées à ces vieilles pétoires qui ne demandent qu'à reprendre du service.
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