Séance de roulage pour Adrien Chareyre sur le circuit de Viterbo pour se familiariser avec sa nouvelle Aprilia et son équipe. Adrien Chareyre a pris la direction de l'Italie pour deux jours de roulage.
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C'est bientôt parti du côté de l'Australie pour une saison 2011 de Superbike qui s'annonce aussi indécise que les précédents exercices. Cela fait maintenant vingt quatre ans que cette discipline nous tient en haleine, un paddock qui comptera cette année vingt et un pilotes et sept constructeurs.
En octobre 1980, du coté de Daytona, un championnat baptisé « Battle of Twins » est créé afin de faire courir, entres autres, les machines produites sur le sol américain, du coté de Milwaukee pour être plus précis. En France, c'est en 1987 que la formule est mise en place, prenant le relais de la coupe Ducati Pantah.
La rumeur nous vient des Etats-Unis et elle n'est pas pour nous déplaire. De l'autre côté de l'Atlantique, en effet, certains auraient déjà reçu l'assurance que la version R de l'incandescente RSV4 se verrait doter avant cet été du non moins alléchant système APRC.
En neuf concrétisations en Grand Prix, Valentino Rossi n'a jamais abandonné son numéro 46. Mais Jorge Lorenzo a décidé de mettre cette année son 99 au repos, pour honorer avec le chiffre 1 son titre de champion du monde. En Superbike, le fétichisme numérique existe aussi.
Vingt deux pilotes en Moto 2 et une quinzaine de pensionnaires du GP125 se sont mouillés au sens propre comme au figuré lors de la dernière des trois journées de test organisées sur le tracé d'Estoril. Des essais qui n'ont pas apporté beaucoup d'indications en raison d'une météo exécrable qui n'a pas lâché un plateau qui reprendra ses travaux début mars à Jerez.
Le mondial Superbike peut revendiquer un très honorable taux d'audience de par le monde et il bénéficie d'une côte d'amour incontestablement élevée parmi la gente motarde qui voit là s'étriper dans des courses échevelées les sportives du marché.
Il n'y a rien à faire contre les éléments qui se déchainent sur le Moto 2 et le GP125 du côté d'Estoril. En effet, pour ce deuxième des trois jours réservés pour préparer la saison 2011 sur le tracé portugais, la pluie a de nouveau rincé les protagonistes dont la plupart sont restés au sec.
Le Portugal n'aura décidément pas épargné ceux qui sont venus braver son hiver afin de se préparer pour leur saison en vitesse moto. Portimao avait ainsi rincé tant le plateau 2011 du Superbike que celui du Supersport, et Estoril s'est chargé de mouiller copieusement les protagonistes du Moto 2 accompagnés du GP125, tout juste arrivés d'un tracé de Valence ensoleillé.
Contrairement au Moto 2 qui a connu trois leaders différents en trois jours, le GP125 s'est déjà trouvé un chef après la première série de test de l'année sur le tracé de Valence. Il s'agit de l'attendu Nico Terol, celui-là même qui bénéficie du statut de vice-champion du monde, et qui compte bien, en 2011, prendre la dernière couronne en jeu avant le passage à la Moto 3.
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