La réception des véhicules du Dakar pour l'embarquement avait lieu mercredi et jeudi au Havre

Mercredi dernier était le premier des deux jours ou ASO avait convoqué les concurrents du Dakar sur le port du Havre pour l'embarquement des motos, quads, voitures et camions, sur le bateau en direction de Buenos-Aires.

Tous les participants partant d'Europe et d'Asie étaient attendus.

Cette année, il n'y avait pas de vérifications administratives et techniques en France, ce sera fait en Argentine.

C'était donc l'occasion pour caradisiacmoto de se rendre sur place pour voir comment tout cela se passe.

Tout d'abord, il m'aurait été agréable de trouver à la sortie du Pont de Normandie une pancarte digne de ce nom, 2 mètres sur 1, pour m'indiquer la direction pour se rendre sur place.

Après presqu' une heure à tourner en rond dans le port du Havre, personne ne sachant me renseigner, comme quelques véhicules de course, Russes et Polonais, les petites pancartes jaunes sont apparues.

Cette journée de mercredi était la plus calme, certains concurrents voulant profiter d'une journée de plus.

Le but de la journée pour les participants était de monter le GPS, fourni par ASO et le boîtier du système Iritrack.

Ce boîtier obligatoire permet à l'organisation de localiser en temps réel chaque concurrent, plusieurs taches sont réunies dans cette petite merveille, c'est juste un peu plus gros qu'une grosse boite d'allumette.

L'installation du GPS et le montage du boîtier Iritrack ont causé beaucoup de problèmes à quantités de concurrents, sous le auvent d'ASO, c'était séance de bricolage, démontage des réservoir, selles, têtes de fourches, pince à dénuder, pince à cosses.
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Visiblement plus de soucis pour le boitier Iritrack. Quasiment tous les carénages sont démontés pour amener un fil d'alimentation aux deux appareils.

Certains y ont passé plus de deux heures et demie et cela ne fonctionnait toujours pas. Je ne serais pas surpris que certains n'aient pas trouvé la solution le soir.

Finlandais, Polonais, Allemands et quelques Français avaient bien du souci avec la connexion. Certaines voitures n'étaient pas épargnées.

Les deux appareils devaient fonctionner pour avoir le tampon indispensable.

Ensuite, il fallait aller déposer son véhicule sur un parking pour les voitures et camions.

Motos et quads étaient pris en charge autrement pour le voyage.

Les pilotes motos et quads devaient ensuite s'occuper de livrer leurs males et leurs roues un peu plus loin.