La mise en place des nouveaux radars urbains finalement reportée
Alors que leur mise en place était attendue dès les mois de mars, les 300 nouveaux radars urbains ne seront finalement pas déployés pour le moment. Ainsi en a décidé le gouvernement, qui a ainsi décidé de reporter sine die la date de mise en service de ce nouveau type de radars.

On les attendait en service dans les prochaines semaines, les 300 radars urbains capables de détecter les excès de vitesse, les franchissements de feux rouges et même l’usage du téléphone au volant ne seront finalement pas mis en place comme cela était prévu, en mars prochain.
Selon France Info, le gouvernement aurait ainsi décidé de reporter sine die leur déploiement imminent dans les villes qui avaient déjà mis en place une expérimentation (notamment Toulouse, Marseille ou encore Montpellier). Le ministère, qui avance donc « qu’aucune date n’est arrêtée » à ce jour pour leur mise en place définitive, précise également « prolonger la phase de test pour être certain du bon fonctionnement des appareils » sans toutefois ne donner plus d’explication sur ce report inattendu.
Un déploiement différé que ne voit pas d’un bon œil la Ligue contre la violence routière, qui n’a pas tardé à réagir et pointe du doigt le contexte social actuel, particulièrement explosif, pour expliquer cette décision de l’Exécutif. Selon elle, ce report entraîne même « des vies gâchées inutilement ».
Si le déploiement généralisé est mis sur pause, la phase d’expérimentation des radars urbains, elle, se poursuit donc. Au moins le temps que le climat social s’apaise. Ce qui ne semble pas exactement en bonne voie à ce jour.
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