L'auto des voisins - Denis a troqué son Opel Zafira OPC contre un SUV Volvo XC40 T5
L'informaticien aime les voitures de sport, mais il apprécie aussi le confort. Aussi, après avoir possédé deux monospaces Opel de 200ch, il est passé au SUV il y a deux ans. Son choix s'est porté sur la version la plus puissante du Volvo XC40.
Quand on mesure 1m97, on prend soin de choisir ses voitures en conséquence. Surtout lorsque, comme Denis, on aime les sportives. Hélas, toutes les autos ne font pas bon ménage avec la taille de cet informaticien qui vit en région parisienne. "J'ai quand même une Dodge Charger de 500ch dans laquelle je peux m'installer sans problème". Mais le muscle car américain n'est pas vraiment adapté au quotidien en général et à la vie de famille en particulier. Alors, après deux Opel Zafira OPC, qui avaient la particularité d'être logeables et puissantes à la fois, Denis a décidé de quitter l'Allemagne pour la Suède en s'offrant, il y a deux ans, le SUV Volvo XC40 T5, le plus puissant de la gamme à l'époque, avec 248ch.
Si le choix de ce Volvo XC40 est donc lié à la taille de Denis, "j'ai essayé un Lexus NX, mais il était trop bas pour moi", il a également eu un coup de cœur pour le modèle, "pour sa ligne surtout". En plus, en 2019, c'était l'un des rares modèles de la gamme à être disponible en quatre roues motrices. L'informaticien n'est pas forcément adepte du off-raod, "mais sur route mouillée notamment, c'est plus sécurisant". Et le voilà qui passe commande d’un T5 en finition Inscription Luxe.
Une finition plus confort que sport
A-t-il totalement abandonné toute velléité de conduite sportive en choisissant plutôt cette finition "bourgeoise" plutôt que la plus virile, et tout aussi haut de gamme R-Design ? Il avoue avoir privilégié le confort, avec des sièges en cuir blanc "véritables" et en y rajoutant une ribambelle d'options. "En plus, ce n'est pas vraiment une voiture de sport, malgré sa puissance". Il ne l'emmènera pas au circuit Bugatti du Mans comme il a pu le faire avec son Zafira OPC, mais plutôt en week-end ou en vacances en Bretagne.
Des virées qui lui permettent, malgré le confinement, d'afficher 24 000 km en moins de trois ans. C'est un kilométrage d'autant plus élevé que Denis ne circule pas avec sa Volvo au quotidien, "elle consomme tout de même près de 15 l en ville, même si je suis à moins de 10 l sur autoroute". Pour se rendre à son bureau parisien, il utilise une auto plus "Hidalgo compatible", en l'occurrence une vieille Toyota Yaris de 2006, toute en reconnaissant que "la Charger pourrait également faire l'affaire : elle est Crit'air 1". Mais dans ce cas, c'est surtout son pompiste qui ferait une bonne affaire.
Pourtant, si Denis a eu un coup de cœur pour son SUV, cela ne l'a pas empêché d'en négocier le prix avec son concessionnaire. "Au total, j'ai obtenu une remise de 15 %". Achetée neuve, la Volvo a nécessité quatre mois de délai pour lui être livrée. Une éternité fin 2019, une toute petite durée aujourd'hui. Il n'a pas voulu la louer et n'a pas souhaité la financer par le biais de Volvo, mais avec ses propres deniers. "Car je souhaite la garder longtemps". Ce qui ne l'empêche pas d'avoir un coup d'avance et de songer déjà à sa voiture suivante. "Peut-être un XC40 full électric, ou une Tesla, qui sait ?".
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