3. Harley Davidson Serial 1 : l'avis de la rédaction
Cette première expérience a été positive. Les deux vélos proposés répondent à la demande des utilisateurs de VAE. Ils « font le job » et même plus. Ils sont faciles à chevaucher, à appréhender. La fabrication a été pensée de manière intelligente tant au niveau de la répartition du poids que des fonctionnalités. On note l’absence de suspension qui permet de gagner en entretien ce qu’on perd en confort. Point de système de suivi par GPS ou de gadget comme la majorité des marques qui se lancent dans le domaine. En échange, Harley Davidson via Serial 1 propose des composants bien choisis. Si le Rush n’a pas spécialement généré d’émotion, le Mosh est quant à lui incite à jouer sur tous les terrains.
Pour finir, nous avons demandé ce que les clients de Harley pensaient de cette incursion de la marque dans l’univers du vélo. La réponse a été plus qu’évasive. Mais ne nous y trompons pas : l’objectif est ici de permettre au 52% des amateurs de la marque n’ayant pas franchi le pas de s’offrir un morceau du mythe pour beaucoup moins cher, que de convertir les « bikers » au vélo.
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