Le Mondial de l’auto nous envoie des cartes postales estivales. Ce jeudi matin, il évoque notamment la venue de Renault, présent à travers ses quatre marques Porte de Versailles.
Le pilote Alpine, qui a terminé le Grand Prix de France de Formule 1 en 8e position l'avoue : les créneaux, ce n'est pas son truc et ses jantes s'en souviennent. Celui qui a passé son permis alors qu'il était déjà pilote de F1 reconnaît également qu'il a peur en voiture. Lorsqu'il est sur le siège passager, bien sûr.
Certes, les ventes de la marque sont en baisse de 12 % au premier semestre de cette année par rapport à l'an passé. Pourtant, les hommes du losange ont le sourire, car la stratégie mise en place semble porter ses fruits. Décryptage d'une politique ciblant les particuliers plutôt que les entreprises, et les modèles à forte marge plutôt que le volume.
Renault a décidé d’augmenter la cadence de production de ses véhicules électriques. Pour cela, la marque au losange compte sur son usine de Cléon, près de Rouen. L’ouverture d’une ligne de production de moteurs ePT-160 KW pour équiper la Mégane E-Tech, et d’une autre pour la future R5, met un vrai coup d’accélérateur à l’électrification de la marque.
Pionnier du 100 % électrique avec sa Zoé lancée il y a dix ans, Renault s’était sans doute depuis un peu oublié dans la course à l’électrification qu’imposent les gouvernements. Avec cette nouvelle Megane E-Tech promise à la pointe de la technologie et fabriquée en France à Douai, l’ex régie semble avoir (re)pris le bon train. Pour s’en assurer, nous sommes partis à son volant pour un essai de plus de 3 000 km.
Inspirée de la nouvelle Renault Megane E-Tech électrique, la version spéciale E-Tech engineered sera disponible à partir de juin pour les Renault Captur, Arkana, Megane Berline et Estate et Clio. Une finition qui conserve les équipements de la RS Line en y ajoutant un design premium et sportif.
Ce moteur fait polémique à tel point qu'on parle de "motorgate". Il est réputé fragile, et les cas de casse pure et simple se comptent par milliers. Le mécontentement est donc vif. Mais quel est le souci réel ? Renault a-t-il rappelé ses véhicules ? Et enfin, faut-il éviter un achat en occasion d'un modèle équipé de ce moteur ? Caradisiac fait le point.
Les chiffres sont tombés ce matin : le losange affiche un recul des ventes de 17 % au premier trimestre par rapport à la même période l’an passé. Alors Renault a décidé de réagir. Des pistes de sortie de crise sont envisagées, et notamment une scission du groupe en deux entités.
Engluée dans son manque de rentabilité, la marque dieppoise va petit à petit n'être plus que l'ombre de son ombre. Autopsie d'un constructeur emblématique qui va disparaître sans le dire, et se fondre dans le paysage du rebadgage et des versions sportives d'autres modèles. Une histoire qui semble bégayer chez Alpine.
En vérité, si nous n'avions tous ou presque des contraintes familiales ou de praticité, nous contraignant à des achats de voitures d'occasion "raisonnables" et pratiques, combien serions-nous à craquer pour un malpratique mais joli coupé ? Certainement bien plus que les ventes actuelles le montrent. Mais pour ceux qui peuvent se permettre, quels sont les meilleurs coupés d'occasion, de moins de 5 000 € à plus de 20 000 € ? Caradisiac a opéré une petite sélection...
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