Même chez Ferrari, il existe une hiérarchie. D’un point de vue tant historique qu’esthétique, les berlinettes à V12 avant sont les plus désirables. C’est l’archétype de la GT de rêve, voiture racée capable de vous emmener le soir à l’opéra, et le lendemain, de vous offrir le grand frisson, plein gaz sur autoroute. Un rêve devenu réalité avec la 456 GT…
Avant l’arrivée d’une certaine GT-R, la sportive de pointe chez Nissan était la 350 Z. Lancée sous la forme d’un coupé au style autant viril que percutant, la « Z » tombera ensuite le haut pour se muer en un décoiffant roadster. Bref, voilà une sportive forte en gueule qui a tout d’un futur grand collector !
Bien avant la Panamera, Porsche s’est essayé avec la 928 à la grosse GT, à V8 avant. La 928, c’est l’autre Porsche culte, bien que toujours restée dans l’ombre de la mythique 911. Pourtant, outre une ligne d’une incroyable modernité
La DB9 creuse le sillon tracé par la DB7, née sous la tutelle de Ford. Elle reste fidèle à ce style élégant et vintage qui évoque la DB5, avec ces phares carénés sous des bulles et ces ouïes caractéristiques creusées dans les flancs. Dessinée de main de maître par Henrik Fisker, la belle anglaise fait tout dans la nuance.
Il n’y a pas si longtemps, Renault était un « créateur d’automobiles » qui se risquait à défricher de nouveaux segments. Le singulier « coupé-space » Avantime, concept toujours unique à ce jour, en est le meilleur exemple. Dommage
Le Mercedes SLK (c’est un garçon !), a remis au goût du jour le système du toit en dur rétractable. En passant en un clic de coupé à cabriolet, ce premier SLK sait ainsi jouer au transformiste, mais aussi en passant des sages 4 cylindres
En marge des populaires Mondeo et Focus, Ford sait, de temps à autres, se lâcher, et revisiter avec un certain bonheur son riche passé. Ainsi, après les Thunderbird et Mustang remisent au goût du jour, le géant américain a ressuscité en 2006
La berline compacte d’Alfa Romeo, la séduisante 147, a eu droit au plus beau moteur de la maison : le célèbre V6 3.2 de 250 ch, un bloc noble et chantant qui justifie à lui seul l’achat de cette voiture passion. Son nom ? La 147 GTA !
Il aura fallu du temps pour qu’Enzo Ferrari admette la pertinence d’une architecture à moteur central arrière, permettant d’optimiser la répartition des masses. A ses yeux, « le cheval ne pousse pas la charrette, mais il la tire ». Mais
La marque à l'éclair n’est pas particulièrement réputée pour concevoir des voitures « fun », mais plutôt des autos sérieuses, voire austères. Pourtant, de temps à autre, pour notre plus grand plaisir, Opel se lâche. Ainsi, après une